Parce qu'elle a écrit contre la lapidation et parce que son mari est déjà dans les prisons politiques en Iran, Golrokh Ebrahimi Iraee a été arrêtée chez elle dans un raid violent de la police qui a détruit sa porte et tout cassé chez elle.
Cette arrestation a provoqué une levée de boucliers jusque dans les prisons. Trois détenus politiques nt eu le grand courage de rendre publique une lettre condamnant cette mesure.
Ali Moezzi, Saïd Shirzad et Behnam Moussivand de la maison d'arrêt de Gohardacht à Karadj dans la banlieue de Téhéran ont écrit : "Cette fois, ils (les agents) sont allés chez Golrokh Ebrahimi Iraee. Pendant que son mari Arach purge une peine de 19 ans, ils ont lancé un raid chez elle, l'ont arrêtée et envoyée à la prison d'Evine pour une peine de six ans en raison de ses activités de défese des droits humains et pour avoir écrit une histoire.
Ce genre de pression sur Arach, Golrokh et d'autres prisonniers politiques et militants des droits humais n'a rien de nouveau, et se passe tous les jours dans chaque coin de l'Iran."
Ils condamnent cette mesure et expriment leur soutien à ce couple. Ils réaffirment qu'ils ne vont pas abandonner et continueront jusqu'à la fin de la tyrannie en Iran.
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