Le président de l’association des travailleurs sociaux du régime iranien a reconnu mercredi 2 novembre que l’Iran sous le régime des mollahs est le deuxième pays le plus triste au monde après l’Irak.
Selon l’agence de presse ISNA, Hassan Mousavi Chalak a déclaré que sur une moyenne de statistiques concernant le bonheur social fourni par plusieurs organisations internationales respectées, l’Iran ne fait pas partie des pays heureux.
Il a ajouté : « Parmi 185 pays, l’Iran est à la 105e place et concernant les pays les plus tristes, l’Iran est juste derrière l’Irak. Nous sommes le deuxième pays le plus triste au monde après l’Irak. »
Le président de l’association des travailleurs sociaux du régime iranien a mis en relief le taux de troubles mentaux élevé dans le pays et a déclaré : « Quelques études statistiques indiquent un taux de 35 pour cent de la population ayant des troubles mentaux à Téhéran. Dans certaines parties de la ville cependant, la situation est tellement choquante que ce pourcentage atteint 80 %, ce qui est tellement critique qu’il fait ressortir le problème du bonheur social de façon plus sérieuse que jamais. »Il a ajouté : « Parmi 185 pays, l’Iran est à la 105e place et concernant les pays les plus tristes, l’Iran est juste derrière l’Irak. Nous sommes le deuxième pays le plus triste au monde après l’Irak. »
Mousavi Chalak a indiqué que l’âge d’entrée dans la prostitution était tombé en dessous de 10 ans et a ajouté : « La sécurité actuelle et future du pays est liée aux problèmes sociaux, car la majorité des crises aujourd’hui sont sociales. »
Mousavi Chalak a souligné : « Certaines statistiques annoncées ne reflètent pas la réalité, mais elles sont plutôt un signe comme quoi les autorités ne regardent pas vraiment ces problèmes en face. Par exemple, le nombre de dépendants à la drogue a été annoncé comme étant de 2,3 millions de personnes alors que le nombre réel est bien plus élevé. » Il a déclaré que même selon ces statistiques irréelles, la situation n’est pas bonne et a ajouté : « En ce qui concerne les addictions, le nombre de dépendants en Iran est le même que celui en Inde, alors que l’Inde a une population 15 fois plus nombreuse que l’Iran. »
Le président de l’association des travailleurs sociaux du régime iranien a déclaré : « Le nombre de chefs de famille étant des femmes a augmenté de plus de 100 pour cent pendant ces cinq dernières années alors qu’il n’y a aucun plan pour les organiser. »
Mousavi Chalak a également indiqué qu’il y a deux cent mille alcooliques dans le pays et a ajouté : « Dans le passé, nous pensions que nous pouvions empêcher ces problèmes avec un traitement ferme et de lourdes peines, mais aujourd’hui nous pensons différemment. »
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