Hadi Sadeghi, l’adjoint du Chancellier du pouvoir judiciaire en Iran, a déclaré : « Il n'y a pas de principe d'emprisonnement dans l'islam, nous devons donc chercher d'autres châtiments : la punition physique est beaucoup plus efficace que l'emprisonnement et la punition par flagellation est beaucoup plus efficace dans l’Islam.
Mais les agences des droits de l'homme n'ont pas une bonne opinion de cela ». Il a ajouté : « La loi permet à nos juges de prononcer une peine d'emprisonnement, mais nos professeurs doivent penser et trouver des peines alternatives. Bien sûr, dans le nouveau code pénal islamique, les juges sont autorisés à utiliser des peines alternatives d'emprisonnement, mais les peines ne doivent pas inclure les prisonniers dangereux ».
Source : Agence de presse ISNA - 30 mai 2018
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