Assadollah Assadi, Iran regime’s diplomat terrorist
Le régime clérical, effrayé par les révélations sur son bilan terroriste et criminel, tente désespérément de faire obstacle à la justice par des menaces et du chantage.
Le régime clérical inhumain, terrifié par les conséquences du procès de son diplomate terroriste en Belgique et les révélations sur son bilan terroriste et criminel, tente désespérément de faire obstacle à la justice par des menaces et du chantage. Son diplomate terroriste, Assadollah Assadi, emprisonné en Belgique pour avoir tenté de commettre un attentat à la bombe contre un grand rassemblement iranien près de Paris en juin 2018, doit être jugé avec trois complices le 27 novembre. Reuters écrit qu’Assadi « a averti les autorités de possibles représailles de la part de groupes non identifiés s’il est reconnu coupable ».
Le diplomate terroriste du régime qui confond la justice belge avec les commissions de la mort et les simulacres de procès de quelques minutes de la dictature religieuse, a dit aux autorités de la police dans une rencontre de 31 minutes, que les Belges « ne réalisent pas ce qui va se passer, en cas de verdict défavorable » (à son détriment).
Reuters écrit : « Le procès-verbal d’une réunion du 12 mars entre Assadi et la police belge, vu par Reuters et confirmé comme authentique par son avocat, montre que (…) il a ensuite averti les autorités belges que son affaire était étroitement surveillée par des groupes non déclarés en Iran et dans les pays voisins ». Assadi a ajouté, selon le procès-verbal, que « des groupes armés en Irak, au Liban, au Yémen et en Syrie, ainsi qu’en Iran, étaient intéressés par l’issue de son affaire et “surveilleraient de loin pour voir si la Belgique les soutiendrait ou non”. »
Ces menaces stupides montrent que l’exportation du terrorisme et l’assassinat des opposants font partie de la stratégie de survie du fascisme religieux au pouvoir dans laquelle tous les dirigeants du régime et les commandants des pasdarans et de la force terroriste Qods sont directement impliqués. Ces deux dernières années, l’ambassadeur et des responsables du régime des mollahs ont rendu des visites régulières à Assadi dans sa prison belge. Cela fait quarante ans que les ambassades et les missions du régime sont des centres d’espionnage, de terrorisme et de complots contre l’opposition et les réfugiés iraniens.
Assadi, qui dirigeait la branche du ministère du Renseignement des mollahs en Autriche (la principale base de ce ministère en Europe), a personnellement remis une bombe de TATP au Luxembourg le 28 juin 2018 à Amir Saadouni et Nasimeh Na’ami pour la poser dans un rassemblement de la résistance à Villepinte.
Le régime clérical, rendus furieux par le transfert massif de l’OMPI en Albanie, terrifié par le soulèvement depuis l’hiver 2017-2018 et préoccupé par le prestige international grandissant du Conseil national de la Résistance iranienne et de sa présidente élue, a cherché à assassiner Mme Radjavi et ses hôtes américains et européens de premier plan à Villepinte.
Mme Maryam Radjavi a témoigné pendant sept heures en présentant des documents et en déclarant que cette opération terroriste avait été approuvée par le Conseil suprême de sécurité du régime présidé par Rohani et dont la mise a exécution a été ordonnée par Khamenei. Elle a souligné qu’en plus d’Assadi et des autres terroristes arrêtés comme auteurs de ce crime, il faut aussi juger les véritables commanditaires à savoir Khamenei, Rohani, Zarif et Mahmoud Alavi, le ministre du Renseignement. Cela est nécessaire pour mettre fin au terrorisme effréné des mollahs.
L’Union européenne doit condamner fermement les menaces terroristes du régime clérical d’entraver le processus judiciaire en Belgique. Le silence et la complaisance rendent ce régime plus agressif en matière d’assassinats, de crimes et de chantage. L’expérience a montré que la seule politique efficace pour contrer le terrorisme effréné des mollahs au pouvoir en Iran est de mettre en œuvre une politique de fermeté. Fermer les ambassades, condamner et expulser les mercenaires et les agents de renseignement du régime, quelle que soit leur couverture, est la première action nécessaire pour contrer le terrorisme des mollahs. Le recours au terrorisme pour empêcher le processus judiciaire renforce la nécessité d’expulser les représentants de ce régime et d’en fermer les représentations.
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 10 octobre 2020
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