jeudi 17 janvier 2019

Solidarité avec la résistance iranienne et les manifestations pro-démocratie en Iran



Les intervenants, Mgr Jacques Gaillot, Sébastien Meurant, sénateur du Val d’Oise, Dominique Lefebvre, président de la communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise, Jean-François Legaret, maire du 1er arrondissement de Paris, Jean-Pierre Béquet, ancien maire d’Auvers-sur-Oise, Jean-Pierre Muller, maire de Magny en Vexin, Anissa Boumediene, ancienne Première dame d’Algérie, le préfet Yves Bonnet, ancien directeur de la DST, Pierre Bercis, président des Nouveaux Droits de l’homme, Sylvie Fassier, ancienne maire de le Pin, Gilles Paruelle, ancien bâtonnier du Val-d’Oise, Jean-Pierre Brard, ancien député-maire de Montreuil, une délégation du conseil municipal d’Auvers-sur-Oise, plusieurs autres maires et élus français, Lars Rise, ancien député norvégien, ont accueilli la décision de l’Union européenne et du gouvernement français d’inscrire dans leur liste noire du terrorisme une entité du ministère iranien du renseignement et deux responsables de ce ministère pour leur participation à des actes terroristes sur le sol européen.

Les mollahs en n’ont pas de solution à la faillite économique, ils n’ont pas de solution à la destruction de l’environnement et ils n’ont pas de solution aux manifestations. Et surtout ils sont paniqués par les manifestations de la nouvelle année
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Ils ont exigé une plus grande fermeté contre la dictature iranienne notamment en expulsant de l’Union européenne tous les agents et diplomates-terroristes du régime des mollahs.
En rendant hommage à la persévérance des habitants d’Achraf-3, la cité de la Résistance iranienne en Albanie, ils ont fait valoir que pour rectifier la désastreuse politique de complaisance menée par l’Europe au cours des quatre dernières décennies vis-à-vis de Téhéran, il est indispensable de reconnaître le Conseil national de la résistance iranienne, seule alternative démocratique à la dictature d’Ali Khamenei, ainsi que le droit du peuple iranien à la résistance pour renverser la dictature religieuse qui sévit depuis quatre décennie dans l’antique pays.
Dans son intervention, Maryam Radjavi a déclaré: "En Iran, l’évènement le plus important en 2018 a été le soulèvement et les manifestations populaires contre le régime des mollahs. Tout le monde a vu la peur des mollahs, surtout la peur du rôle des Moudjahidine du peuple, l’OMPI, dans le soulèvement. Malgré les morts, les milliers d’arrestations de manifestants et les tortures, le soulèvement continue. L’événement le plus récent en décembre, ce sont les manifestations des étudiants à Téhéran, des ouvriers à Ahwaz et des paysans dans la province d’Ispahan. Je salue leur courage !

"2018 a aussi été marqué par l’isolement sans précédent des mollahs sur la scène internationale (...)La seule force qui peut mettre fin au terrorisme et au bellicisme des mollahs, c’est le soulèvement du peuple iranien avec sa résistance organisée. "Il est temps que la France et la communauté internationale reconnaissent le droit du peuple iranien à résister pour renverser le fascisme religieux et se libérer."

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