Dans une interview accordée à NCR-Iran, Ali Safavi, membre du Conseil national de la Résistance iranienne (CNRI), a donné les explications suivantes au sujet de la campagne d’intoxication du régime iranien contre la Résistance :
« La tentative désespérée du régime iranien de diaboliser la Résistance iranienne, notamment l'OMPI et que le Conseil national de la Résistance iranienne, doit être considérée dans le contexte de la paranoïa croissante du régime sur l'impact de l’OMPI et son efficacité à organiser les manifestations anti-gouvernementales qui se sont produites en Iran ces dernières mois.
« En effet, les nombreux responsables du régime, depuis Ali Khamenei, le Guide Suprême, jusqu'à Hassan Rohani, en passant par les commandants des Gardiens de la révolution (pasdaran), ont reconnu le rôle de l’OMPI dans les soulèvements en Iran.
« De toute évidence, la communauté internationale surveille maintenant le régime et constate qu'il est à bout de souffle. Donc, en essayant de diaboliser l'opposition, le régime tente de mettre en avant le fait qu'il n'existe pas d'alternative démocratique populaire viable en Iran et qu’il faut maintenir du statu quo et continuer la politique de complaisance en Iran.
« Il ne fait aucun doute que certaines calomnies et allégations à l’encontre de la résistance ont été planifiées par le ministère iranien du Renseignement et de la sécurité (VEVAK), dont les responsables ont été arrêtés en Europe pour participation directe et conduite de complots terroristes contre le CNRI et l’OMPI. En fait, le recours du régime à des violations aussi flagrantes de la loi en Europe et aux États-Unis montre à quel point il est paranoïaque quant au rôle et à l'impact de l’OMPI et du CNRI comme alternative démocratique viable. »
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