L'inaction enhardira la dictature religieuse au pouvoir en Iran
L’attaque par le régime des mollahs contre les installations pétrolières de l’Arabie saoudite avec des drones et des missiles en provenance du territoire iranien, constitue un acte de guerre sans précédent.
Après l’attaque, Ali Khamenei a rejeté tout dialogue avec les États-Unis à moins que celui-ci ne se repente! Il a également déclaré : « Le fait que certains [pays] européens insistent pour avoir une rencontre avec le président des États-Unis en disant que tous vos problèmes seront résolus, ne vise qu’à prouver que la politique de pression maximale est une politique réussie. Or, nous devons prouver que la politique de pression maximale ne vaut pas un clou. »
Maryam Radjavi, présidente élue du Conseil national de la Résistance iranienne (CNRI), a décrit les attaques contre les installations pétrolières d’un pays voisin comme un acte de guerre de grande ampleur et un nouveau chapitre dans l’agressivité de la dictature iranienne. Elle a estimé que la fermeté est le seul langage compris par les mollahs et a souligné que l'inaction ne fera qu’enhardir Téhéran, avec pour seule victime le peuple iranien.
La solution décisive pour débarrasser le Moyen-Orient de toute les crises provoquées par Ali Khamenei, est le changement du régime scélérat par le peuple iranien et sa résistance organisée.
La dirigeante de la Résistance iranienne a estimé :
-Les résolutions antérieures du Conseil de sécurité des Nations Unies contre le projet d'armes nucléaires du régime iranien et l’enrichissement de l’uranium, doivent être rétablies et pleinement renforcées ;
-Il est indispensable d’évincer les Gardiens de la révolution islamique (pasdaran) et leurs forces supplétives d’Irak, de Syrie, du Yémen, du Liban et d’Afghanistan.
- L’UE doit inscrire Khamenei et ses bureaux sur sa liste noire, ainsi que les pasdaran et le ministère iranien du Renseignement (VEVAK).
- Le Conseil de sécurité des Nations Unies doit renvoyer le dossier des violations des droits de l’homme des mollahs, y compris le cas du massacre de 30000 prisonniers politiques en 1988, devant une cour pénale internationale.
-La communauté internationale doit reconnaître le droit du peuple iranien à la résistance contre la tyrannie et pour la liberté.
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 18 septembre 2019
Le 18 septembre 2019
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