Mardi 23 mai, Maryam Radjavi a rencontré Mme Rasa Juknevičienė, eurodéputée lituanienne, vice-présidente du groupe du Parti populaire européen, ainsi que M. Stanislav Polčák, eurodéputé tchèque, et M. Cristian-Silviu Buşoi, président de de la commission de l’industrie, de la recherche et de l’énergie, dans son lieu de résidence à Bruxelles. Les discussions ont porté sur la situation en Iran et la situation de la résistance et du soulèvement du peuple iranien.
Mme Rasa Juknevičienė, qui a été ministre de la Défense de la Lituanie en 2012 et présidente de l’Assemblée parlementaire de l’OTAN en 2018 est actuellement membre de la sous-commission de la défense et de la sécurité du Parlement européen. Lors de sa rencontre avec Maryam Radjavi, elle a affirmé très bien connaitre la dictature et estimé que le Parlement européen, qui est le pilier de la démocratie européenne, devrait considérer le CNRI comme une grande et puissante alternative à la dictature en place en Iran. Elle a ajouté que les eurodéputés comprennent que le régime mène une guerre psychologique contre la Résistance iranienne, comme le font les tyrannies partout dans le monde. Elle a conclu en s’adressant à Mme Radjavi qu’elle et le peuple iranien méritent plus que tout autre le droit d’atteindre la liberté.
M. Buşoi, rappelant les efforts de Maryam Radjavi en faveur des Moudjahidine du peuple à la cité d’Achraf-1, a estimé que nul n’ignorait la belle campagne qu’elle avait menée à cet égard. Bien que tous les pays occidentaux critiquent la situation des droits humains en Iran, il a souligné que ces critiques devaient être suivies de sanctions et de mesures concrètes, sinon le régime continuerait à réprimer le peuple.
M. Polčák a également déclaré que les eurodéputés se tiennent aux côtés de la Résistance iranienne depuis des années et qu’ils continueraient à œuvrer pour isoler autant que possible le régime sur la scène internationale.
Tout en appréciant le soutien des eurodéputés, Maryam Radjavi a appelé à une politique de fermeté contre la répression brutale, le chantage et les prises d’otages menés par la dictature religieuse. Elle a estimé que les gouvernements européens devraient reconnaître le droit à l’autodéfense du peuple et la jeunesse en Iran contre le corps des gardiens de la révolution, les spasdarans.
Notre lutte contre la dictature terroriste des mollahs, a-t-elle conclu, n’est pas seulement pour la liberté de l’Iran, mais aussi dans les intérêts des peuples du Moyen-Orient, d’Europe et d’autres parties du monde.
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