Dimanche 7 février au matin, les agents du ministère des Renseignements et les forces spéciales de sécurité ont arrêté plusieurs personnes en provenance de Téhéran, Machhad, Ispahan et Chiraz qui devaient se rassembler devant la prison d'Evin, à l'occasion de la libération prévue du prisonnier politique Mohammad Ali Taheri.
Les forces répressives ont également empêché la femme et les enfants de M. Taheri de quitter leur domicile pour se rendre à la prison d'Evin.
M. Taheri qui a été condamné à cinq ans de prison pour des faits fabriqués de toutes pièces par les mollahs comme « insulte envers les saintetés », « utilisation illégale de titres académiques », et « ublication de livres et d’écrits trompeurs ». Dimanche était le dernier jour de sa peine et il devait être libéré.
La Résistance iranienne demande aux organisations internationales de défense des droits de l'Homme à condamner résolument les mesures répressives de la dictature religieuse au pouvoir en Iran contre les familles des prisonniers politiques. Ces mesures reflètent la crainte du régime face à l'expansion des manifestations populaires.
Le Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 7 février 2016
Le 7 février 2016
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