· En lançant des accusations sans fondement contre l’OMPI, le régime cherche à manipuler et créer un prétexte pour des actions terroristes et des pressions sur les gouvernements occidentaux
Une fois de plus, la Résistance iranienne appelle le Conseil de sécurité de l’ONU, l’Union européenne et les organisations internationales de défense des droits humains à accélérer le procès international des dirigeants iraniens sanguinaires. Cet appel vise à organiser un procès en présence de représentants de la Résistance.
Gholamhossein Mohseni Eje’i, le chef criminel du système judiciaire du régime en Iran, qui au cours des quatre dernières décennies, n’a cessé d’être impliqué dans des crimes contre l’humanité, obtenant même un diplôme de brutalité en tant que soi-disant juge de la charia dans la sinistre prison d’Evine, a cédé à la panique face aux nombreux appels internationaux à juger les dirigeants du régime. A travers une série de déclarations absurdes, il cherche à échapper à un procès en rejetant la responsabilité sur l’OMPI et en exigeant des pays occidentaux qu’ils procèdent à son extradition.
Responsable des procès expéditifs de dizaines de milliers de prisonniers politiques, dont beaucoup ont été exécutés, Eje’i a affirmé que les Moudjahidine du peuple ont tué des milliers d’individus du régime. Il a déclaré : « Non seulement le système de la République islamique (…) mais aussi de nombreux parents sont mécontents (…) de voir que la République islamique veut même leur offrir un procès équitable. Le premier jour, on leur dit : « Si vous voulez un avocat, vous pouvez procéder« . Quel pays devrait créer un tribunal pour les terroristes ? »
Le chef criminel du système judiciaire, bien conscient du rejet de l’opinion publique mondiale envers le régime des mollahs, affirme que les pays occidentaux « doivent absolument les livrer ; ils doivent absolument être jugés (…) ils doivent faire face aux conséquences de leurs actes« .
L’objectif des déclarations de ce mollah criminel, similaire à l’inculpation de l’OMPI et de 107 de ses membres, est non seulement de détourner l’attention et de lancer des accusations sans fondement contre l’OMPI, mais aussi d’exercer une pression supplémentaire sur les dissidents iraniens et de faciliter les activités terroristes du régime dans le but d’échapper aux procès internationaux.
124 anciens présidents et Premiers ministres, ainsi que 3 600 parlementaires de 40 pays, dont une majorité au Congrès américain, une majorité à l’Assemblée nationale française et des majorités dans les parlements du Royaume-Uni et de l’Italie, ainsi que 75 lauréats du prix Nobel, ont exprimé leur soutien au soulèvement du peuple iranien pour une république démocratique et ont exigé que les responsables du régime soient jugés et « répondent de leurs crimes contre l’humanité« .
La Résistance iranienne appelle le Conseil de sécurité de l’ONU, l’Union européenne et ses Etats membres et les organismes internationaux de défense des droits humains à accélérer le procès international des mollahs sanguinaires d’Iran en présence de représentants de la Résistance. Elle leur demande d’adopter une position ferme contre le pouvoir judiciaire du régime des mollahs. Le bilan du régime en matière d’exécutions et de massacres a été condamné 69 fois pour violation flagrante de tous les principes et normes des droits humains par l’Assemblée générale et les instances de défense des droits humains au sein des Nations unies.
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 16 août 2023
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