Nous demandons instamment à l’ONU, à son Conseil des droits de l’homme et son rapporteur spécial sur la situation des droits de l’homme en Iran de prendre des mesures urgentes pour sauver les prisonniers politiques Reza Rassa’i et Habib Deris, qui risquent d’être exécutés de façon imminente.
Le pouvoir judiciaire du régime iranien doit également annuler la condamnation à mort frauduleuse et absurde du rappeur populaire Toomaj Salehi.
Ces verdicts sont l’autre face de la stratégie du régime visant à réprimer les femmes iraniennes et à sortir de la crise qui engloutit l’ensemble de cette tyrannie.
Aujourd’hui, le mollah Makarem Chirazi a déclaré son soutien au commandant des forces de sécurité de l’État, Ahmadreza Radan, pour la répression qu’il exerce à l’encontre des femmes. Chirazi est l’un des principaux membres du clergé qui a engrangé plus de 100 millions de dollars de bénéfices illégaux grâce au commerce du sucre.
La réponse du peuple iranien au régime misogyne des mollahs, qui s’appuie sur les exécutions et les massacres, est une résistance visant à le renverser pour gagner la liberté.
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