Faisant référence aux “instances extrajudiciaires” dans son cas, telles que le refus du droit d’appel, cette journaliste a écrit sur son compte utilisateur : “La peine initiale d’un an d’emprisonnement n’a pas été respectée : “La peine initiale d’un an d’emprisonnement, de 2 ans d’exil, de deux ans d’interdiction de quitter le pays et de 2 ans d’interdiction d’adhérer à des réseaux sociaux devant la Cour d’appel a été commuée en 5 mois de prison, mais le reste des affaires est toujours là.”
Parisa Salehi a été convoquée au bureau du procureur de Karaj dans une notification en septembre 2023, et peu de temps après, elle a été inculpée au bureau du procureur de Karaj et finalement libérée sous caution.
Cette journaliste a déjà travaillé pour le journal Donya-e Eghtesad et est étudiante en maîtrise d’économie à l’université de Téhéran.
Source : CNRI Femmes
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