Selon des documents et des rapports de la BBC World Service, quatre agents du Corps des gardiens de la révolution de Khamenei (pasdarans) ont participé à l’arrestation et à l’agression sexuelle de la jeune manifestante de 16 ans, Nika Shakarami. Son meurtre inhumain a eu lieu pendant le soulèvement iranien de 2022, ce qui constitue un crime contre l’humanité.
Ces documents choquants révèlent l’implication de membres d’une unité secrète de renseignement des pasdarans dans l’arrestation, le viol et le meurtre de Nika Shakarami. Par la suite, le régime criminel des mollahs a prétendu qu’elle s’était suicidée.
La commission des Femmes du Conseil national de la Résistance iranienne condamne fermement ce crime atroce et inhumain. Il demande que des enquêtes internationales soient menées sur cette affaire et que le Corps des pasdarans du régime clérical soit rapidement désigné comme terroriste.
Le peuple iranien, en particulier les femmes, demande instamment au rapporteur spécial des Nations unies sur la situation des droits de l’homme en Iran, au rapporteur spécial de l’ONU sur la violence à l’égard des femmes et à la mission internationale indépendante d’établissement des faits de se pencher d’urgence sur cette affaire. Elles insistent sur la nécessité de saisir la Cour pénale internationale afin qu’elle émette des mandats d’arrêt à l’encontre des responsables, des cerveaux et des auteurs de ce crime, et qu’elle veille à ce que chacun d’entre eux soit traduit en justice.
Commission des Femmes du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 30 avril 2024
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