Cette année, la résistance iranienne, les Moudjahidines du peuple iranien (OMPI) ont étendu leur influence en dépit d’une répression intense, de milliers d’arrestations et d’exécutions de prisonniers politiques sanctionnées par l’État. La résilience de la Résistance iranienne, l’OMPI, a été une lueur d’espoir pour beaucoup, démontrant que l’engagement du mouvement à renverser le régime reste inébranlable. Cependant, il est important de noter que le présent rapport n’aborde qu’une partie des activités de l’OMPI, sans tenir compte des nombreuses manifestations et expositions organisées dans le monde entier, qui témoignent de l’ampleur de la résistance.
Il est important de noter que ce rapport n’aborde qu’une partie des activités de l’OMPI, sans tenir compte des nombreuses manifestations et expositions qui ont lieu dans le monde entier et qui témoignent de l’ampleur de la résistance.
Le 6 janvier a marqué le troisième anniversaire de la tragique attaque au missile des Gardiens de la Révolution () contre l’avion de passagers ukrainien PS752, qui a entraîné la mort de 176 innocents. Des rassemblements en mémoire de cette tragédie ont été organisés dans plusieurs villes du monde, reflétant la portée mondiale de l’indignation des communautés iraniennes face aux actions du régime.
Le 10 janvier, le Comité international en quête de justice (ISJ) a tenu une conférence de presse pour présenter « Iran’s Democratic Revolution », un livre qui explore le paysage politique actuel de l’Iran, mettant en lumière les luttes entre les forces démocratiques et le régime tyrannique. Cet événement a souligné l’inquiétude et la solidarité croissantes de la communauté internationale à l’égard de la situation du peuple iranien.
Un acte de défi notable a eu lieu le 11 janvier à Pakdasht, dans la province de Téhéran, où un groupe de jeunes filles des Unités de résistance a organisé un défilé de jour, scandant hardiment des slogans hostiles au régime. Cet acte de rébellion, ainsi que d’autres activités similaires, ont symbolisé l’esprit inflexible de la Résistance iranienne.
La conférence de l’ISJ du 11 janvier, au cours de laquelle le livre « Iran’s Democratic Revolution » a été présenté, a rassemblé des politiciens et des militants qui se sont fait l’écho de la nécessité d’adopter une position décisive contre le régime iranien. Du 15 au 20 janvier, l’exposition audacieuse des images des leaders de la résistance par les Unités de la Résistance dans plusieurs villes a envoyé un puissant message de défi.
La réunion du Parlement européen du 25 janvier, à laquelle ont participé Mme Maryam Radjavi, présidente du CNRI, et plusieurs députés européens, a appelé à une politique ferme contre le régime iranien et a reconnu le rôle central de l’OMPI dans le soulèvement.
Le 27 janvier, le « Comité de solidarité arabo-islamique avec la résistance iranienne » (CAISIR) s’est réuni à Bruxelles, attirant des personnalités du monde arabe et montrant un front uni contre les politiques oppressives du régime iranien.
Le mois s’est terminé par une réunion importante au Parlement britannique, où les législateurs britanniques et les activistes iraniens ont condamné l’escalade de la violence du régime contre les manifestants et ont exhorté le gouvernement britannique à reconnaître les gardiens de la révolution comme une organisation terroriste, renforçant ainsi le soutien de la communauté internationale à la résistance iranienne.
Source : Stop Fundamentalism/ CSDHI
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