samedi 30 juillet 2022

Iran : 25 exécutions criminelles la dernière semaine de juillet, dont trois femmes et un homme de 72 ans

 Les mollahs veulent empêcher l’explosion de la colère populaire par des effusions de sang, mais ces crimes renforcent la détermination et la résistance du peuple iranien pour les renverser. Ce régime est une honte pour l’humanité contemporaine, il faut le mettre au ban de la communauté mondiale et juger ses dirigeants.

Le jeudi 28 juillet, les bourreaux de Khamenei ont pendu un condamné à la prison de Racht en représailles à la mort d’un commandant de police, et deux autres prisonniers nommés Hiva Ahmadi et Payam Yazdani, emprisonnés depuis sept ans, à Sanandaj.

Le 27 juillet, un prisonnier nommé Mohammad Reza Arjmandi a été exécuté à Bam, ainsi qu’un prisonnier de 72 ans nommé Abdollah Rahimi au bout 14 ans de réclusion et une détenue, Soheila Abedi, à Sanandaj. Le même jour, la prisonnière Faranak Beheshti a été exécutée au bout de 5 ans de réclusion à Oroumieh et Senobar Jalali a été pendue à la prison de Gohardacht. Ainsi, le nombre de prisonniers exécutés depuis début le 23 juillet atteint les 25.

Dans sa phase terminale, afin d’ajouter quelques heures de plus à son ignoble existence, le régime des mollahs tente d’empêcher l’explosion de la colère du peuple par des effusions de sang et des tueries. Cependant ces crimes odieux ne font que renforcer la détermination du peuple iranien et de sa résistance pour renverser ce régime.

Il faut mettre au ban de la communauté des nations le fascisme religieux au pouvoir en Iran, qui est une honte pour l’humanité contemporaine. Il faut renvoyer le dossier des violations des droits humains en Iran devant le Conseil de sécurité des Nations unies et juger ses dirigeants pour quatre décennies de crimes contre l’humanité et génocide.

Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne

Le 29 juillet 2022

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