mardi 12 juillet 2022

La prisonnière politique Zahra Safaei s’est vu refuser la visite de son fils pendant trois mois

 300 femmes et enfants frappés par la chaleur après des coupures constantes d’eau et d’électricité

La prisonnière politique Zahra Safaei s’est vu refuser la visite de son fils, Massoud Moini, pendant plus de trois mois.

La prisonnière politique Zahra Safaei et sa fille, Parastou Moini, se voient également refuser l’accès aux appels hebdomadaires entre prisons. Bien qu’elle ait écrit de nombreuses lettres à l’Organisation des prisons, à la directrice de la prison de Qarchak, au surveillant de la prison et au pouvoir judiciaire, la prisonnière politique Zahra Safaei n’a pas trouvé le moyen de rendre visite à son fils, Massoud Moini, qui est également emprisonné.

La prisonnière politique Zahra Safaei et sa fille n’ont pu appeler qu’une seule fois pour parler à Massoud.

Mme Safaei souffre d’un grave problème cardiaque, d’hypertension, de varices et d’une dent douloureuse. Elle a déjà eu une attaque cardiaque en prison.

Les prisonnières politiques, dont Zahra Safaei, sont harcelées par la directrice de la prison de Qarchak, Soghra Khodadadi. Khodadadi a privé Zahra Safaei de traitement médical à de nombreuses reprises et utilise tous les moyens possibles pour faire pression sur les prisonnières politiques.

La prisonnière politique Zahra Safaei s'est vu refuser la visite de son fils, Massoud Moini, pendant plus de trois mois.

300 femmes et enfants souffrent d’un coup de chaleur en prison

Selon les nouvelles du 9 juillet 2022 en provenance de la prison de Qarchak, 300 femmes et enfants détenus avec leurs mères ont souffert d’un coup de chaleur.

Les autorités pénitentiaires ont coupé l’électricité dans ce quartier pendant deux jours. Elles ont débranché les téléphones pour rendre les conditions difficiles pour les prisonnières politiques. L’eau ayant également été fermée sur elles, les climatiseurs étaient hors d’usage, et les conditions de détention sont devenues intolérables.

Des femmes souffrant d’un coup de chaleur se sont rendues à la clinique de la prison pour obtenir de l’aide, mais elles ont été renvoyées dans leurs quartiers sans aucun traitement.

Les gardiens ont répondu aux prisonnières qui protestaient et réclamaient de l’eau et de l’électricité que Khodadadi et Amiri avaient ordonné la coupure de l’électricité et de l’eau.

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