Malgré les preuves évidentes de sa mort causée par un traumatisme crânien, les autorités iraniennes ont prétendu à tort que Ghazaleh était décédée dans un accident de voiture. Or, son certificat de décès indique clairement qu’elle a été tuée d’un coup violent à la tête.
Née en 1996, Ghazaleh Ghasemi était diplômée en biologie et travaillait dans une clinique vétérinaire a Teheran.
L’une des nombreuses atrocités commises par le régime pendant le soulèvement de 2022 a consisté à fabriquer de faux récits sur la mort des manifestants. Dans plusieurs cas, ils ont prétendu que les victimes étaient mortes dans des accidents ou s’étaient suicidées, mais il s’agissait de mensonges flagrants destinés à dissimuler leurs actions brutales.
Source : CNRI Femmes
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