· Khamenei tente d’empêcher un soulèvement par une vague d’exécutions, mais ne fait qu’attiser la colère d’un peuple enchaîné. Ce régime de pendaison et de terreur doit être mis au ban de la communauté internationale, et ses dirigeants traduits en justice pour crimes contre l’humanité et génocide.
Les bourreaux de Khamenei ont exécuté en novembre un total effroyable de 335 prisonniers, dont 7 femmes. Deux des victimes ont été pendues en public dans des scènes d’une brutalité que seule la dictature religieuse au pouvoir en Iran sait commettre.
Ce chiffre dépasse plus du double celui de novembre 2024 (155 exécutions), triple celui de 2023 (115), sextuple celui de 2022 (57) et représente onze fois celui de 2021 (30).
La vague sauvage d’exécutions s’est poursuivie durant les trois premiers jours de décembre. Selon les informations reçues jusqu’à ce midi, 44 prisonniers ont été exécutés en 72 heures — soit une exécution toutes les 1h30. Les identités des autres victimes seront annoncées après vérification.
Pour la journée du 3 décembre, les treize victimes identifiées sont : Keyvan Shahbakhsh, 29 ans, à Bam ; Iman Morteza’i, 39 ans, et Abolfazl Davoudi à Semnan ; Hessam Norouzi et une femme à Machhad ; Amir Emami et deux autres prisonniers à Ghezel Hessar ; un prisonnier à Kongan (province de Bouchehr) ; Ali Kalahor à Gorgan ; Mehdi Javanmardi, 38 ans, à Racht ; Pirvali Shabani à Sabzevar ; et Youssef Jamshidi (Mehrabi), 22 ans, à Bandar Abbas.
Le mardi 2 décembre, vingt prisonniers ont été pendus, l’un d’eux en public à Semnan. Les 19 autres victimes sont :Mohammadjafar Alinia à Behbahan ; Ebrahim Kalagar à Nowshahr ; Abbas Mozaffarzadeh, 27 ans, à Qom ; Soltan Morad Nosseri à Esfarayen ; Mahmoud Abdollahi, Jalal Khorshidi, Ali Neirang et un autre prisonnier à Yazd ; un prisonnier nommé Pour Heidari à Qazvin ; Mahmoud Nouri, Hossein Shafizadeh et Gholamreza Bahrami à Semnan ; et sept prisonniers à Ispahan : Shahab Mokhtari, Abdollah Barahouyi, 39 ans, de la communauté baloutche ; Mehrdad Aspid, 38 ans ; Shomal Mohammadrashid ; Arsalan Hossein Ali ; Abolfazl Ghaderzadeh ; et Massih Panahi, 37 ans.
Le 1er décembre, 11 prisonniers ont été exécutés : Seyed Ali Hajipour à Taybad ; Javad Souri à Shahr-e Kord ; Tayeb Mina’i à Ahwaz ; Nourkhoda Akrami à Qom ; deux prisonniers à Tabriz ; Parsa Abdi et un autre prisonnier à Bandar Abbas ; Hossein Zamani à Doroud ; Sepehr Goudarzi à Boroujerd ; et Ebrahim Tabrizi à Mahabad.
Le 30 novembre, en plus des noms déjà annoncés dans le communiqué précédent, Yashar Sadeghi à Boukan, Mansour Jalali à Kerman, et Parviz Rigui, 30 ans, à Zahedan — deux d’entre eux appartenant à la communauté baloutche — ont été pendus.
La dictature religieuse en Iran tente en vain d’empêcher l’essor du soulèvement par une politique de sang et de terreur. Cette fuite en avant meurtrière ne fait qu’amplifier la colère du peuple opprimé. Ce régime de pendaison et de terreur doit être exclu de la communauté internationale, et Khamenei ainsi que les autres dirigeants doivent répondre devant la justice de 46 ans de crimes contre l’humanité et de génocide.
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