mardi 30 juin 2020
Iran : plus de 63.600 décès dus au coronavirus dans 341 villes – Mis à jour AU 30 Juin 2020, 18H00

L’Organisation des Moudjahidine du peuple d’Iran (OMPI / MEK) a annoncé dans l’après-midi du 30 juin que le nombre de décès dus au Covid-19 dans 341 villes d’Iran dépasse les 63.200.
Le nombre de victimes dans les provinces, de Téhéran est plus de 16400, de Lorestan est 2325, d’Azerbaïdjan oriental est de 1890, d’Azerbaïdjan occidental est 1725, du kurdistan est 1295, de Hormozgan est 625, de Chaharmahal-Bakhtiari est 420, de Kohgilouyeh- Boyer-Ahmad est 325, Auxquels s’ajoutent les chiffres des autres provinces.
La communauté internationale doit réagir pour sauver deux étudiants iraniens

Sept chrétiens iraniens condamnés à la prison et à une amende

Un journaliste condamné à mort pour son rôle dans les manifestations

Iran : De lourdes condamnations contre des manifestants d'Ispahan

La Cour suprême confirme la condamnation à mort de trois manifestants

des arrestations lors d'une commémoration des victimes de l'avion ukrainien abattu

lundi 29 juin 2020
Iran : Plus de 62.600 décès dus au coronavirus dans 341 villes

Crise à Téhéran et Machad
Dans ses chiffres truqués, le régime a porté le nombre de victimes des dernières 24 heures à 162, ce qui est le nombre le plus élevé jusqu’à présent.
La porte-parole du ministère de la Santé : Nous avons une hausse significative des chiffres de la province de Téhéran depuis dimanche, ce qui est inquiétant.
Le chef du centre national de lutte contre le Covid-19 : Le nombre de personnes hospitalisées à Téhéran hier a atteint 521
Nahid Khodakarami, présidente de la commission de la santé du conseil de Téhéran: Jusqu’à présent, plus de 5000 Téhéranais ont perdu la vie
La faculté des sciences médicales de Machad : la situation à Machad a également franchi la ligne rouge (…) 900 malades du virus et suspects de l’être viennent faire le test tous les jours.
Entre les 21 et 28 juin, 167 personnes sont décédées à l’hôpital Ganjavian de Dezfoul. Le nombre de morts à l’hôpital est passé à 624 depuis le 20 février
La situation à Boroujerd et à Khorramabad est dangereuse, avec au moins 100 décès. A Selseleh et Delfan, au moins 100 personnes sont mortes. Les hôpitaux ne sont pas autorisés à embaucher et pour ne pas donner de couverture maladie aux infirmières, ils les prennent en CDD de 89 jours.
La porte-parole du ministère de la Santé : Nous avons une hausse significative des chiffres de la province de Téhéran depuis dimanche, ce qui est inquiétant.
Le chef du centre national de lutte contre le Covid-19 : Le nombre de personnes hospitalisées à Téhéran hier a atteint 521
Nahid Khodakarami, présidente de la commission de la santé du conseil de Téhéran: Jusqu’à présent, plus de 5000 Téhéranais ont perdu la vie
La faculté des sciences médicales de Machad : la situation à Machad a également franchi la ligne rouge (…) 900 malades du virus et suspects de l’être viennent faire le test tous les jours.
Entre les 21 et 28 juin, 167 personnes sont décédées à l’hôpital Ganjavian de Dezfoul. Le nombre de morts à l’hôpital est passé à 624 depuis le 20 février
La situation à Boroujerd et à Khorramabad est dangereuse, avec au moins 100 décès. A Selseleh et Delfan, au moins 100 personnes sont mortes. Les hôpitaux ne sont pas autorisés à embaucher et pour ne pas donner de couverture maladie aux infirmières, ils les prennent en CDD de 89 jours.
Iran: Qui est Ebrahim Raïssi?

Le 2 juin 2020, le chef du pouvoir judiciaire du régime iranien, Ebrahim Raïssi, connu pour son rôle dans le massacre de plus de 30 000 prisonniers politiques en 1988 en Iran, a défendu les crimes contre l’humanité du régime et a déclaré :
« En fait, l’imam Khomeiny était un héros dans la lutte contre les monafeghine (nom péjoratif du régime pour Moudjahidine du peuple d’Iran). Il les connaissait bien. On ne devrait leur donner aucun répit, insistait-il. »
« Lors d’une réunion à laquelle j’ai assisté avec trois ou quatre de nos collègues, un rapport a été présenté concernant un certain nombre de ces cas. Bien que nous savions que l’imam Khomeiny était plus révolutionnaire que nous, mais nous y étions allés pour dire que nous faisions ceci et cela… pensant que l’imam Khomeiny dirait que nous allons trop loin. Mais non, nous avons vu qu’il était plusieurs étapes en avant de nous. Non seulement il nous a encouragés, mais il a également déclaré que nous devions poursuivre ces mesures avec une fermeté beaucoup plus sérieuse, et pas seulement à Téhéran, mais dans toutes les autres provinces », a poursuivi Raïssi.
En 1988, le grand ayatollah Hossein-Ali Montazeri, successeur de Khomeiny à l’époque, a convoqué les membres de la « commission de la mort », dont Raïssi. Montazeri s’est adressé à eux lors de cette réunion qui a été enregistrée puis publiée en 2016 : «Le plus grand crime commis sous la République islamique, pour lequel l’histoire nous condamnera, a été commis par vous. Vos (noms) seront à l’avenir gravés dans les annales de l’histoire en tant que criminels. »
Un regard sur les antécédents d’Ebrahim Raïssi clarifie qui il est et pourquoi Khamenei l’a choisi comme chef du pouvoir judiciaire et peut-être le futur guide suprême du régime des mollahs.
« En fait, l’imam Khomeiny était un héros dans la lutte contre les monafeghine (nom péjoratif du régime pour Moudjahidine du peuple d’Iran). Il les connaissait bien. On ne devrait leur donner aucun répit, insistait-il. »
« Lors d’une réunion à laquelle j’ai assisté avec trois ou quatre de nos collègues, un rapport a été présenté concernant un certain nombre de ces cas. Bien que nous savions que l’imam Khomeiny était plus révolutionnaire que nous, mais nous y étions allés pour dire que nous faisions ceci et cela… pensant que l’imam Khomeiny dirait que nous allons trop loin. Mais non, nous avons vu qu’il était plusieurs étapes en avant de nous. Non seulement il nous a encouragés, mais il a également déclaré que nous devions poursuivre ces mesures avec une fermeté beaucoup plus sérieuse, et pas seulement à Téhéran, mais dans toutes les autres provinces », a poursuivi Raïssi.
En 1988, le grand ayatollah Hossein-Ali Montazeri, successeur de Khomeiny à l’époque, a convoqué les membres de la « commission de la mort », dont Raïssi. Montazeri s’est adressé à eux lors de cette réunion qui a été enregistrée puis publiée en 2016 : «Le plus grand crime commis sous la République islamique, pour lequel l’histoire nous condamnera, a été commis par vous. Vos (noms) seront à l’avenir gravés dans les annales de l’histoire en tant que criminels. »
Un regard sur les antécédents d’Ebrahim Raïssi clarifie qui il est et pourquoi Khamenei l’a choisi comme chef du pouvoir judiciaire et peut-être le futur guide suprême du régime des mollahs.
Le régime est sur le point d’exécuter des manifestants emprisonnés, la communauté internationale doit intervenir

La Cour suprême du régime iranien a confirmé la peine de mort contre trois jeunes hommes arrêtés lors des manifestations de novembre 2019 en Iran. Leur vie est en danger, la communauté internationale doit intervenir pour éviter cette injustice. Amir-Hossein Moradi, Mohammad Rajabi et Saïd Tamjidi ont été accusés d’être des “chefs d’émeutes” selon les déclarations du porte-parole du judiciaire le 18 juin et ont été condamnés à mort par la branche 15 du « tribunal révolutionnaire » de Téhéran sous le chef d’inculpation de «Moharebeh» ou «guerre contre Dieu».
Iran : Trois militants écologistes perdent la vie dans la lutte contre les feux de forêts

Les moyens pour combattre les récents incendies, en particulier dans les zones infranchissables comme à Paveh, sont entre les mains des pasdarans, de l’armée et des organes officiels, mais le régime s’abstient de les utiliser.
Le 22 juillet, trois militants écologistes, Mokhtar Khandani de Nosoud, Yassin Karimi du village de Shamshir et Bilal Amini, un habitant de Paveh, sont morts en tentant de contenir l’incendie sur les hauteurs de Markhil-Paveh, et plusieurs autres ont été brûlés.
Un défenseur des droits des enseignants pourrait passer encore des années en prison

Iran : Détention arbitraire de la militante des droits du travail, Mme Sepideh Gholian

Le silence des défenseuses des droits humains à cause de la COVID-19

Huit manifestants iraniens condamnés à la peine de mort à Ispahan

Un autre Grand Maître des échecs abandonne la nationalité iranienne

RSF regrette la mort soudaine d’un juge iranien, responsable de crimes contre l'humanité et de la torture de journalistes

Iran : Un nouveau rapport demande la fin des aveux forcés télévisés.

dimanche 28 juin 2020
Iran: Plus de 62.100 décès dans 340 villes

• Le ministère de la Santé : les patients identifiés avec le coronavirus à l’extérieur sont dix fois plus nombreux que ceux détectés dans les hôpitaux.
• Aucun hôpital de Téhéran n’est exempt du virus et tous les hôpitaux s’occupent du coronavirus.
• Iraj Harirchi, vice-ministre de la Santé : 11 villes d’Azerbaïdjan occidental sont dans le rouge. Après la reprise, on constate une hausse du nombre de malades.
• TV officielle : Avec la forte augmentation des hospitalisations, les hôpitaux d’Ispahan sont entrés dans une nouvelle phase critique. Les gens sont hospitalisés dans les couloirs.
L’Organisation des Moudjahidine du peuple d’Iran (OMPI / MEK) a annoncé ce 28 juin 2020 que le nombre de décès dus au coronavirus dans 340 villes iraniennes dépassait 62.100. Le nombre de décès dans les provinces de Khorasan Razavi est de 3725, de Mazandaran 2895, de Sistan-Balouchistan 2030, d’Azerbaïdjan occidental 1690, de Kermanchah 1535, de Hamedan 1362, de Fars 1285, du Kurdistan 1270, du Yazd 794, d’Hormozgan 595 et de Chaharmahal-Bakhtiari 405.
Iran: peines de mort et de prison pour les manifestants arrêtés en vue d’empêcher un soulèvement


Le juge en chef d’Ispahan : l’OMPI devrait savoir que si une brèche [un soulèvement] comme celles de 2009, 2017-2018 et novembre dernier se produit, nous réagirons avec fermeté. Le verdict de “corruption sur Terre” a été approuvé pour huit affaires liées aux incidents mentionnés
Par crainte des protestations et du soulèvement généralisé ainsi que des activités des unités de résistance qui brisent le climat de terreur et d’intimidation, la dictature religieuse au pouvoir tente désespérément d’empêcher un nouveau soulèvement populaire en renforçant la peur avec des exécutions, en prononçant des peines de longue durée et en arrêtant les jeunes.
Une prisonnière politique kurde tabassée à la prison de Qarchak
CNRI Femmes – La prisonnière politique kurde Sakineh Parvaneh a récemment été battue par plusieurs détenue de droit commun en prison. Elles ont pris pour cible la prisonnière après y avoir été incitées par les responsables de la section 3 de la prison de Qarchak, située en grande banlieue de Téhéran.
Iran: trois suicides pour échapper à des mariages forcés
CNRI Femmes – Deux adolescentes de 13 et 17 ans et une femme de 28 ans se sont suicides en Iran pour échapper à un mariage forcé, deux y ont laissé la vie. Le 19 juin 2020 à Kermanchah, Shirine Kamari, 17 ans, a opté pour le suicide pour fuir la pression de sa famille qui voulait la marier avec un homme qu’ils avaient choisi. Elle s’est s’est tiré un coup de feu. Kermanchah est situé dans l’ouest de l’Iran.
samedi 27 juin 2020
Iran : plus de 61.800 décès dus au coronavirus dans 340 villes – Mis à jour AU 27 Juin 2020, 18H00

L’Organisation des Moudjahidine du peuple d’Iran (OMPI/MEK) a annoncé dans l’après-midi du 27 juin que le nombre de décès dus au Covid-19 dans 340 villes d’Iran dépasse les 61.800.
Le nombre de victimes dans les provinces, de Khousistan est 4720, Khorassan-Razavi est 3670, de Guilan est 3145, de Lorestan est 2228, de Golestan est 1575, de Khorassan du nord est 635, de Hormozgan est 580, de Boucher est 561, d’Ilam est de 415, Auxquels s’ajoutent les chiffres des autres provinces.
Des femmes chefs de famille dorment dans des fosses en raison de la pauvreté
CNRI Femmes – Des femmes chefs de famille se sont réfugiées dans la périphérie des villes en raison de la pauvreté et du manque de logements adéquats. Elles vivent dans des tunnels et des fosses sous des bâtiments délabrés.
Manifestation de trois jours d’enseignants à Téhéran : des femmes arrêtées
CNRI Femmes – Lors d’une manifestation de trois jours des enseignants contractuels et des éducateurs du mouvement d’alphabétisation ont protesté devant le Majlis (Parlement) du 21 au 23 juin. Pendant ces trois jours, les enseignants ont manifesté contre des conditions d’emploi mal définies, l’instabilité de l’emploi et les difficultés à maintenir un moyen de subsistance.
Mensonge du régime sur l’explosion d’un réservoir de gaz

Le général Davoud Abdi, directeur général des relations publiques au ministère de la Défense et de la Logistique du régime iranien, a affirmé que « vers 23h30-24h, un réservoir d’essence a explosé dans la zone générale de Parchine, et l’incendie a été contrôlé par les pompiers ».
Iran : « 40 % de la population a contracté la Covid-19 dans certaines provinces »

L'organisme de secours qui a mis en colère les pasdarans

vendredi 26 juin 2020
Iran : plus de 61.500 décès dus au coronavirus dans 340 villes

– Mardi et mercredi, au moins 103 personnes sont mortes à Machad, 28 à Nichapour, 23 à Sabzevar, 14 à Qouchan et 32 à Bojnourd.
– Dix-sept nouveaux décès enregistrés à Bandar Abbas en un jour.
– Le gouverneur de Kalaleh (Golestan) : L’épidémie de coronavirus dans la ville a été multipliée par sept.
– À Kohguilouyeh-Boyer-Ahmad, le nombre de patients a triplé ; à Guilan, il est passé à 3 110 et à Hormozgan à 525.
– Le gouverneur de Kalaleh (Golestan) : L’épidémie de coronavirus dans la ville a été multipliée par sept.
– À Kohguilouyeh-Boyer-Ahmad, le nombre de patients a triplé ; à Guilan, il est passé à 3 110 et à Hormozgan à 525.
L’Organisation des Moudjahidine du peuple d’Iran (OMPI / MEK) a annoncé dans l’après-midi du 26 juin 2020 que le nombre de décès dus au coronavirus dans 340 villes d’Iran dépassait les 61.500. Le nombre de morts dans les provinces de Khouzistan est de 4685, de Khorassan-Razavi 3695, de Guilan 3110, d’Alborz 1945, d’Azerbaïdjan occidental 1657, de Golestan 1515, de Kermanchah 1510, du Kurdistan 1245, de Khorassan du nord 607 et de Hormozgan 525.
EDITORIAL : Iran, 39 ans d’une résistance tenace par l’OMPI

Si on regarde la situation en Iran au cours des dernières années, on observe des mouvements de protestation qui ont provoqué au moins deux récentes répression à l’échelle nationale. Si on examine la situation depuis les années qui ont suivi la révolution de 1979, on découvre que le mouvement actuel est directement issu des premiers efforts organisés pour renverser la dictature théocratique.
Le tribunal de Hambourg interdit au Frankfurter Allgemeine de faire de fausses déclarations contre les Moudjahidine du peuple d’Iran (OMPI)

Les allégations de “torture” et d’ “interdiction de rendre visite à la famille” sont fausses / Le Frankfurter Allgemeine a agi illégalement / la déontologie journalistique n’a pas été respectée / L’OMPI et le Conseil national de la Résistance iranienne (CNRI) n’ont pas été entendus
Le tribunal régional de Hambourg confirme le procès intenté par le CNRI au quotidien allemand Frankfurter Allgemeine Zeitung (FAZ) pour diffamation contre l’OMPI
Pour l’anniversaire du début de la résistance, la jeunesse insurgée brûle des centres de la milice du Bassidj à travers l’Iran

A l’occasion du 20 juin, date marquant le 40e anniversaire du déclenchement de la résistance du peuple iranien contre la dictature religieuse et journée des martyrs et des prisonniers politiques, de jeunes insurgés à travers l’Iran ont incendié les entrées de centres de la milice du Bassidj et des portraits de Khamenei et de Qassem Soleimani.
Le rôle crucial de l’OMPI dans les révélations au sujet des ambitions nucléaires de la dictature iranienne

Le Bureau pour le control des armements du Département d’État américain, dans son rapport 2020 publié mardi, a fait mention des violations par le régime iranien du Traité de non-prolifération nucléaire (TNP) et a souligné le rôle important de la Résistance iranienne dans la révélation des ambitions et activités nucléaires de la dictature iranienne.
Le Conseil national de la résistance d’Iran (CNRI) a révélé en 2002 des informations cruciales au sujet des activités nucléaires du régime pour obtenir des armes nucléaires. Ces informations ont été obtenues par le réseau de l’Organisation des Moudjahidine du peuple d’Iran (OMPI / MEK).
Suite de l’affaire du dissident kurde exécuté, Hedayat Abdollahpour

Un enseignant arabe en prison pour avoir dénoncé la pauvreté due au régime

Pas d'avocats, pas de justice : Avocats emprisonnés pour leur défense des droits humains

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