Le 3 et le 5 septembre, le régime cruel des mollahs a exécuté onze prisonniers dans sa frénésie meurtrière en Iran qui détient le record mondial du nombre d’exécutions par habitant. Trois de ces prisonniers ont été envoyés à la potence à la prison de Zahedan à l’aube du lundi 3 septembre. Agés de 21 à 24 ans, ils avaient été condamnés à la peine capitale pour le meurtre d’un officier de police.
Les autorités ont informé les familles de ces trois baloutches qu’elles devraient payer pour les cordes utilisées pour l’exécution et fournir de l’argent à la famille de la victime afin de pouvoir récupérer le corps.
Le 5 septembre, huit autres prisonniers ont été exécutés dans la prison de Gohardasht.
La Résistance iranienne appelle les défenseurs des droits humains, notamment le Haut-commissaire des droits humains et le Rapporteur spécial sur la situation des droits de l’homme en Iran, ainsi que le groupe de travail sur les exécutions arbitraires, à condamner ces exécutions et à prendre des mesures afin d’empêcher les châtiment cruels qui se pratiquent largement en Iran.
Embourbé dans des crises en interne et sur le plan internationale, le régime islamiste a recours à une nouvelle vague d’exécutions pour intensifier l’atmosphère de terreur dans la société et éviter un nouveau soulèvement populaire. Ces crimes ne feront qu’ajouter à la colère d’une population excédée.
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 7 septembre 2018
Le 7 septembre 2018
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