La justice a accusé Amir, l’un des deux militants turcs, d' » incitation et invitation à commettre des actes de violence par le biais d’applications de communication sur Internet « . Elle a accusé Yousef d' » incitation à commettre des actes de violence » et de » trouble à l’ordre public « .
Les autorités iraniennes avaient déjà placé en détention Amir le 22 juillet et Yousef le 25 juillet. Les autorités iraniennes ont libérés les militants turcs sous caution les 14 et 15 août.
Le régime iranien est l’un des rares États qui utilise encore des châtiments dégradants. Pourtant, toutes les conventions internationales relatives aux droits civils et politiques ont interdit le recours à des châtiments inhumains tels que l’exécution et la flagellation.
Plus de 100 « délits » sont passibles de flagellation en vertu de la loi iranienne. Ces délits comprennent le vol, les agressions, le vandalisme, la diffamation et la fraude. Elles couvrent également des actes qui ne devraient pas être criminalisés. Par exemple, l’adultère, les relations intimes entre hommes et femmes non mariés, l' »atteinte aux bonnes mœurs » et les relations sexuelles consenties entre personnes du même sexe.
Source : Iran News Wire
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