Les Iraniens épris de liberté continueront leur combat
Hamzeh Darvish a souligné qu’ils (les Iraniens épris de liberté) continueront leur combat avec toute leur force contre le régime de Khamenei.
Le prisonnier politique, qui a publié une lettre ouverte, adressée au Guide suprême iranien Ali Khamenei sur le procès qui a lieu devant le tribunal d’Aban, à Londres sur la répression du régime contre les manifestants de novembre 2019, a exprimé sa joie sur les audiences qui ont eu lieu pour poursuivre les auteurs du massacre de 1500 personnes lors des manifestations de 2019. Il a déclaré :
« La tenue d’un tel procès est une bonne chose mais elle n’est pas suffisante. J’espère que Khamenei et ses fils et tous ses mercenaires seront bientôt jugés dans un tribunal populaire en Iran et devant des journalistes internationaux pour toutes leurs atrocités et massacres et qu’ils seront punis en public. »
Dans une partie de ce message, le prisonnier politique déclare :
« Comme vous le savez, une partie de la population iranienne, inquiète de sa situation économique dévastatrice et de celle de ses familles et de ses proches, est descendue dans la rue pour protester contre le prix élevé de l’essence. Mais le régime de terreur du Velayat-e-Faghih dirigé par le tueur d’enfants Khamenei, parce qu’il s’agit d’une dictature, n’a pas toléré les protestations. Elle a coupé Internet et a tiré sur les gens. De sorte que ses mercenaires ont tué plus de 1 500 personnes en trois jours. »
120 000 prisonniers tués dans les années 1980
Puis dans une autre partie de son message, le prisonnier politique dit : « Ce n’est pas la première fois que la dictature religieuse d’Iran commet des massacres. Mais dans les années 80, et surtout en 1988, elle a tué plus de 120 000 prisonniers. A cette époque, en raison du manque de communication, le monde n’a pas été informé de ce qui nous est arrivé, à nous et à notre cher peuple.
« Un régime qui, au nom de l’Islam, n’est pas seulement souillé du sang du peuple iranien mais aussi de celui des peuples de Syrie, du Liban, du Yémen et d’autres parties du monde. Il y a quelque temps, un membre de son parlement a dit que nous avions tué. Et maintenant qui peut me poursuivre ?
« J’étais un prisonnier politique, comme les mères en quête de justice (des manifestations de novembre 2019) disent à ce député du régime, que si vous osez sortir un seul jour sans arme et sans gardes du corps avec votre misérable chef, nous et le peuple iranien vous poursuivrons. »
Enfin, il a dit au régime : « A bas Khamenei et maudit Khomeiny, ils ne peuvent plus rien faire. Sauf la torture, l’emprisonnement et la longue réclusion solitaire. Maintenant, je ne crains pas leurs tortures et leurs longs emprisonnements, ni l’isolement cellulaire. Je continuerai mon combat avec toute ma puissance contre le criminel et terroriste Khamenei. »
Source : INU
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