Over 50,500 dead of coronavirus (COVID-19) in Iran-Iran Coronavirus Death Toll per PMOI MEK sources
Au moins 425 décès dans les hôpitaux Atieh et Milad de Téhéran.
Le conseiller du ministre de la Santé : le nombre de cas positifs est en augmentation. Les gens doivent savoir que nous vivrons avec l’épidémie de coronavirus pendant un ou deux ans.
En Iran, nous avons fait la reprise plus rapidement qu’en Europe. Nous pensions que la situation devenait normale alors qu’elle n’était pas …
Le conseiller du ministre de la Santé : le nombre de cas positifs est en augmentation. Les gens doivent savoir que nous vivrons avec l’épidémie de coronavirus pendant un ou deux ans.
En Iran, nous avons fait la reprise plus rapidement qu’en Europe. Nous pensions que la situation devenait normale alors qu’elle n’était pas …
L’Organisation des Moudjahidine du peuple d’Iran (OMPI / MEK) a annoncé dans l’après-midi du 9 juin 2020, que les décès dus au coronavirus dépassaient les 50.500 dans 327 villes d’Iran. Le nombre de morts dans les provinces de Téhéran est de 10.550, de Khouzistan 4070, d’Ispahan 2565, de Sistan-Baloutchistan 1785, de Lorestan à 1687, de Zandjan 532 et de Hormozgan 310.
Selon des rapports médicaux, 260 patients sont morts du Covid-19 à l’hôpital Milad et 165 à l’hôpital Atieh de Téhéran depuis mars. Les 28 mai et 1 juin, l’OMPI a annoncé que le nombre total de victimes dans 23 autres hôpitaux de Téhéran était de 5980. Dans la province de Téhéran, des malades du Covid-19 ont été admis dans 138 hôpitaux publics et privés. Dans la plupart des hôpitaux, le nombre de malades venus consulter fin mai-début juin a augmenté par rapport aux semaines précédentes. Du 21 au 27 mai, le nombre de cas suspects à l’hôpital Atieh était de 40 par jour, mais la semaine suivante, il est passé à 90.
Ardakani, conseiller du ministre de la Santé, a reconnu la détérioration de la situation et a déclaré à l’agence Irna aujourd’hui : « Le nombre de cas positifs augmente (…) Les gens doivent savoir que nous vivrons avec l’épidémie corona pendant un ou deux ans. En Iran, nous avons fait la reprise plus rapidement qu’en Europe. Nous pensions que la situation devenait normale alors qu’elle n’était pas (…) Chaque test Corona coûte environ 400 000 tomans au gouvernement (…) Je suis sûr que si la situation empire, les restrictions seront certainement rétablies, cela finira par arriver. »
Par ailleurs, Jahanpour, le porte-parole du ministère de la Santé du régime, a été limogé. Un nouveau porte-parole a annoncé aujourd’hui, selon l’agence Irna, que « le nombre de cas positifs dans les provinces du Kurdistan, de Khouzistan, de Hormozgan, de Sistan-Baloutchistan, Bouchehr et Kermanchah est en augmentation. Ces derniers jours, en général, le nombre de malades du Covid-19 a augmenté dans le pays. »
A Téhéran, Zali, le chef du centre national de lutte contre le coronavirus (CNLC) a affirmé hier au réseau d’information du régime que « les malades qui se présentent aux centres et aux hôpitaux (…) ont augmenté de 3,5% par rapport à il y a 24 heures ».
Selon le site Javan, l’organe des pasdarans, hier dans la province du Khouzistan, le président de la faculté des sciences médicales de Jondichapour a déclaré que « au Khouzistan ces dernières 24 heures, 764 personnes ont été infectées par le coronavirus et à Abadan, le vice-président de la faculté des sciences médicales a annoncé que l’hôpital Ayatollah Taleghani avait atteint sa pleine capacité. Il a ajouté qu’un certain nombre de patients ont été admis à l’hôpital Khomeiny de la compagnie pétrolière (…) On prévoit que juin sera un mois difficile et la tendance à la hausse se poursuivra pendant encore deux semaines. »
Dans la province d’Hormozgan, un membre du conseil islamique de Bandar-Abbas a déclaré sur le site Baz-Khabar aujourd’hui : « Dans ces conditions critiques, où la situation dans la ville de Bandar Abbas empire d’heure en heure (…) le manque de bonne gestion peut conduire à des catastrophes irréparables qui mettent en danger la vie de milliers de citoyens. Les responsables en la matière n’ont pas de solution appropriée pour contrôler le flot de l’épidémie de coronavirus (…) La culpabilité des autorités devient plus lourde lorsqu’elles considèrent que ces chiffres exponentiels sont le résultat de la négligence de la population, alors qu’aucune mesure efficace n’a été prise par les autorités pour lutter contre l’épidémie. »
Dans la province de Kermanchah, le gouverneur a déclaré sur le site Hamchahri hier : « Le nombre de patients est en augmentation. Il n’y a pas de perspective clair pour cette maladie. Hier, 620 tests ont été effectués, dont 213 positifs, indiquant un état d’alerte dans la province. »
Selon l’agence Tasnim, de la force Qods, hier au Golestan, le directeur adjoint des affaires politiques et de sécurité de cette province a déclaré: « Ces derniers jours, le nombre de patients soupçonnés d’avoir contracté le Covid-19 a augmenté et il est possible que la maladie se propage à nouveau. Si le nombre de patients et d’hospitalisations dépasse une limite, de nouvelles restrictions et décisions seront prises immédiatement en compte. »
L’agence Irna a cité aujourd’hui le président de la faculté des sciences médicales de la province de Zandjan, expliquant que « l’épidémie de Covid-19 a augmenté dans cette province. Les villes d’Ijroud et Soltanieh étaient exemptes du virus, mais désormais Ijroud est dans le rouge ».
« La mauvaise gestion du gouvernement et le manque de surveillance et de contrôle, a déclaré Mahjoub, membre du comité de prévention du coronavirus, font partie des raisons du pic de la maladie dans les foyers précédents et dans de nombreuses régions du pays qui en étaient exemptes (…) Donner la priorité aux moyens de subsistance des gens avec des politiques de sécurité ou de sécurité collective a amené le pays au point où (…) le coronavirus a atteint un sommet dans le pays aujourd’hui et la maladie n’est pas contenue, gérée ni contrôlée. » (Site Rahbord Moasser, 8 juin)
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 9 juin 2020
Le 9 juin 2020
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