Ali Younesi-Amirhossein Moradi
Réagissant à la contamination du prisonnier politique Ali Younesi par le coronavirus, Mme Maryam Radjavi, présidente élue du Conseil national de la Résistance iranienne (CNRI), a déclaré que la conduite du régime des mollahs à l’égard de ces prisonniers, malgré toutes les mises en garde et positions prises précédemment par diverses instances et organisations internationales, est un cas manifeste de crime contre l’humanité. Apparemment, sous la pression interne et internationale suite à l’arrestation d’Amir-Hossein Moradi et d’Ali Younesi, deux étudiants d’élite de l’université technologique Sharif de Téhéran, le régime des mollahs a l’intention de les assassiner avec le coronavirus. Le régime utilise le coronavirus pour remplacer l’exécution des prisonniers, en particulier des prisonniers politiques.
Mme Radjavi a appelé le Secrétaire général des Nations unies, le Conseil des droits de l’homme et la Haut-Commissaire aux droits de l’homme ainsi que les rapporteurs de l’ONU et les autres organisations des droits humains à intervenir immédiatement pour sauver la vie de MM. Younesi et Moradi et à prendre des mesures urgentes pour obtenir leur libération.
Jusqu’à présent, de nombreux parlementaires ainsi que des personnalités, organisations et associations de défense des droits de l’homme, dont des Prix Nobel, un groupe d’eurodéputés, le Comité international pour l’application de la justice – ISJ (qui bénéficie du soutien de 4 000 parlementaires en Europe et en Amérique), Amnesty International, des parlementaires et des comités parlementaires du Royaume-Uni, d’Italie, d’Australie, du Canada, de Belgique, de Roumanie, d’Irlande et d’autres pays, ainsi que le Comité des maires français pour un Iran démocratique et de nombreuses personnalités du Moyen-Orient ont condamné l’arrestation de MM. Younesi et Moradi et demandé leur libération.
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