CSDHI - A l'occasion de sa 39e session, le Conseil des droits de l'homme de l'ONU à Genève s'est penché sur les problèmes de l'eau qui affectent gravement les droits élémentaires des populations.
A cet égard, l'Association of World Citizens a pris la parole après le rapport du rapporteur spécial de l'ONU dans ce domaine. L'association a attiré l'attention sur la corruption et le pouvoir en Iran qui permettent les détournements d'eau potable.
Après l'air, l'eau est une source essentielle et vitale. (...) Le manque d'eau ne concerne que les pauvres (...) La mauvaise gouvernance et la mauvaise gestion de l'eau en Iran ont déjà coûté la migration de plus de 400 000 personnes, uniquement depuis le Khouzistan, une province dans sud de l'Iran. Cela n'a pas empêché le plan de construction d’un autre barrage sur la rivière Karoun de cette province. Comme si l'autre barrage n'était pas suffisant pour anéantir l'eau potable du Khouzistan.
La combinaison la plus dangereuse pour gaspiller l’eau très limitée, disponible en Iran est le mode de vie luxueux et la corruption. Il existe des informations très sérieuses sur la vente de la précieuse eau potable de la ville qui sert à remplir une piscine dans la partie riche de Téhéran, alors que les gens des quartiers pauvres de la ville ont de l'eau ordinaire quelques heures pendant la journée ».
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