Son beau-père l’a accusée d’avoir des relations illicites hors mariage et a exigé la peine maximale pour elle.
L’affaire de Sareh et de Maysam, l’homme qui était son ami, a été envoyée à la 11e branche du tribunal pénal de la province de Téhéran.
La jeune femme a nié l’accusation et a déclaré que Maysam n’était qu’un simple ami. Maysam a également rejeté l’accusation de relations illicites.
Sareh et Maysam ont rejeté le verdict de lapidation et ont fait appel. La 26e chambre de la Cour suprême a examiné l’affaire et a finalement confirmé l’exécution de l’homme et de la femme.
L’Iran est l’un des six pays qui pratiquent la lapidation comme châtiment.
Le code pénal du régime clérical considère les relations extraconjugales comme un délit et les punit par la lapidation, l’exécution ou le fouet.
Craignant l’apparition de protestations, le régime clérical a renforcé ses mesures de répression, notamment les arrestations et les exécutions, dans les mois qui ont suivi l’arrivée à la présidence d’Ebrahim Raïssi. Aujourd’hui, la peine de lapidation est venue s’ajouter à ces mesures.
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