· Exécution de trois prisonniers baloutches à Zahedan et Kerman,
· Plus de 200 exécutions depuis le 21 mars, nouvelle année iranienne
Craignant l’explosion d’une révolte, Khamenei recourt chaque jour à de nouveaux actes de sauvagerie. Le dimanche 18 juin, le pouvoir judiciaire s’est livré à un acte ignoble en pendant en place publique un prisonnier à Daylam, dans la province de Bouchehr. Cette exécution a eu lieu en réponse à l’assassinat de deux agents des forces de sécurité de l’État en mars 2022, dans le parc côtier de la ville.
Dimanche encore, le pouvoir judiciaire a pendu deux compatriotes baloutches, Fazl Ahmad Ghofran (Rakhshani) et Mohammad Sepahi, à la prison centrale de Kerman. En outre, samedi, un autre compatriote baloutche, Mahmoud Rakhshani, a été exécuté à la prison centrale de Zahedan.
En conséquence, le nombre d’exécutions depuis le début de l’année iranienne, qui commence le 21 mars, a dépassé les 200 prisonniers.
Fermer les yeux, engager des négociations et chercher à plaire à un régime qui méprise les principes des droits humains, fait preuve d’une extrême cruauté et affiche un bilan honteux en matière d’exécutions et de torture, constitue une violation flagrante des normes fondamentales en matière des droits humains. Ce régime médiéval doit être exclu de la communauté internationale et ses dirigeants doivent répondre de quatre décennies de crimes contre l’humanité et de génocide.
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 19 juin 2023
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