Zahra Mohammadi, Faezeh Ebrahimi, Mohammad Reza Keshtkar et Mohammad Haqqani, étudiants en médecine de Bouchehr, ont perdu la vie dans un accident de voiture en raison du dysfonctionnement des airbags.
Le jeudi 8 juin 2023, sur la route Kazeroun-Chiraz, quatre étudiants en médecine de Bouchehr , Zahra Mohammadi, Faezah Ebrahimi, Mohammad Reza Keshtkar et Mohammad Haqqani, qui étaient en fin d’études, sont morts dans un accident de la route.
Au même moment, Sassan Hosseinpoor, un étudiant en soins infirmiers de la même université, a également perdu la vie près de Dalaki.
Les deux accidents se sont produits avec une voiture fabriquée localement, la Peugeot Pars. Bien que la voiture ait été gravement endommagée et qu’elle soit entrée en collision avec les barrières de béton qui séparent les voies de circulation, les airbags n’ont pas fonctionné comme ils auraient dû le faire à ce moment-là pour protéger les occupants du véhicule d’un danger potentiel ou de la mort.
La situation de l’industrie automobile, le secteur le plus rentable de l’industrie iranienne, qui est sous le contrôle des gangs de maraudeurs du régime des mollahs, fait chaque jour plus de victimes parmi le peuple iranien. Hosseini, commandant adjoint de la police de la circulation, a admis que “selon les statistiques de 2022, 19 491 personnes ont perdu la vie dans des accidents de la circulation, ce qui représente une augmentation de 16 % par rapport à l’année précédente”.
M. Hosseini a ajouté : “Au cours des dix dernières années, nous n’avons constaté aucune amélioration de la qualité des voitures produites dans le pays, ne serait-ce que de 1 % en termes de sécurité et d’amélioration de la sécurité !” Au cours des 20 dernières années, les accidents de la route ont tué plus d’un demi-million de personnes en Iran. (Journal d’État Entekhab – 14 mai 2023)
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