Les deux prisonnières de l’OMPI/MEK ont été privées de traitement et de soins médicaux appropriés. Les autorités pénitentiaires du régime clérical ont rejeté leur demande de permission de sortie ou de libération conditionnelle.
La prisonnière politique Zahra Safa’i
La prisonnière politique Zahra Safa’i se trouve dans un état critique à la sinistre prison de Qarchak.
Après avoir eu une crise cardiaque et subi une opération du cœur, elle ne peut plus supporter les conditions de détention.
Le 31 août 2021, Zahra Safa’i a eu un infarctus. Les autorités de la prison de Qarchak ont empêché dans un premier temps son transfert vers un hôpital municipal où elle a ensuite subi une opération du cœur.
Zahra Safa’i reste dans une cellule aux côtés de détenues de droit commun, en violation du principe de la séparation des délits.
Engagées par la directtice de la prison, les dangereuses criminelles de Qarchak ont menacé de tuer Zahra Safa’i à plusieurs reprises.
La Résistance iranienne appelle le Secrétaire général de l’ONU, la Haut-Commissaire aux droits de l’homme, le Conseil des droits de l’homme, les rapporteurs spéciaux et les autres organisations internationales des droits humains à envoyer une délégation en Iran pour visiter les prisons du régime clérical et rencontrer les prisonniers, en particulier les prisonniers politiques.
La prisonnière politique Somayeh Qoraichi
La prisonnière politique Somayeh Qoraichi est détenue dans le quartier des femmes de la prison centrale d’Oroumieh depuis un an.
Pendant sa détention, elle a divorcé. Elle a un enfant malade, mais les autorités pénitentiaires ont refusé de la libérer ou de lui accorder un congé médical.
Somayeh Qoraichi a développé un état cardiaque critique en mai 2021. Les autorités de la prison d’Oroumieh ne lui ont pas permis d’être hospitalisée dans la clinique de la prison. Elles ne lui ont pas non plus accordé de congé médical.
Somayeh Qoraichi est originaire d’Oroumieh. Elle a été arrêtée en décembre 2019 pour son soutien à l’opposition démocratique des Moudjahidine du peuple d’Iran (OMPI/MEK) et condamnée à cinq ans de prison.
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