Maryam Radjavi a rencontré Mme Ingrid Betancourt au siège du Conseil national de la Résistance iranienne en région parisienne. Mme Betancourt, qui fait partie des plaignants dans l’affaire Assadi, a estimé que l’accord honteux entre le gouvernement belge et le régime iranien revenait à s’agenouiller devant la politique des otages. J’ai moi-même été otage, a-t-elle rappelé, et je sais que les preneurs d’otages sont encouragés à poursuivre cette politique en obtenant des concessions. La bonne politique est de résister et de faire preuve de fermeté face à eux, a-t-elle ajouté.
Pour Mme Radjavi, la stratégie du régime en politique étrangère consiste dans le terrorisme, les prises d’otages et le chantage. La libération du terroriste qui dirigeait la plus grande tentative d’opération terroriste en Europe après la seconde guerre mondiale, en violation flagrante de l’ordonnance du tribunal, c’est une rançon honteuse offerte au terrorisme et à la prise d’otages.
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