NCRI_ Dans une nouvelle tragédie pour les Iraniennes qui subissent la barbarie des intégristes au pouvoir en Iran, une femme de 37 ans, Afsaneh Ghorbani, a été victime d’une attaque à l’acide le 12 août à Baneh, une ville du Kurdistan iranien.
C’est la cinquième femme en un mois à être la cible de vitriolage dans le Kurdistan iranien par les bandes criminelles du régime. Les quatre précédentes ont eu lieu dans la ville de Boukan.
La première vague d’agressions à l’acide contre les Iraniennes sans défense, sous prétexte qu’elles étaient « mal voilées » et pour répandre un climat de terreur dans la société, a été signalée en octobre 2014 à Ispahan et à Téhéran et s’est étendue à d’autres villes iraniennes.
En faisant adopter un arsenal de lois pour combattre le soi-disant phénomène des « mal voilées », la dictature religieuse a ouvert la voie à la sauvagerie des bandes intégristes qui lui sont affiliées.
Mme Sarvnaz Tchitsaz, présidente de la commission des Femmes du Conseil national de la Résistance iranienne, a exprimé son indignation profonde de cette agression à l’acide : « ces actes de barbarie qui révoltent les consciences, doivent être condamnés par les organisations internationales de défense des droits humains et des droits des femmes.
La présidente de la commission du CNRI a estimé que c’est une honte d’avoir autorisé la présence du régime misogyne à l’ONU-Femmes. Elle a appelé les organisations de défense des droits des femmes à demander des comptes aux mollahs sur la vague de vitriolage et à expulser ce régime du sommet de l’ONU-Femmes.
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