dimanche 31 janvier 2021
Iran: Coronavirus Fatalities in 478 Cities Exceed 209,200
Letter by 98 members of the General Assembly of the Medical Organization to Rouhani: While the Russian vaccine which has not received the minimum international approvals and its effectiveness and safety in the country of production are unclear, we consider its purchase unjustified and dangerous. (The Medical Organization’s official website, January 31, 2021)
Iran : Avec les violations actuelles de l’accord nucléaire, le régime cherche de nouveaux signes d’impunité
Il y a plusieurs semaines, le Majlis (Parlement des mollahs) a adopté un projet de loi qui a fixé une date d’expiration à l’accord nucléaire que les responsables politiques européens s’efforcent de préserver et de rétablir depuis que les États-Unis s’en sont retirés en 2018. Mais des personnalités comme Josep Borrell, chef de la politique étrangère de l’Union Européenne, ont insisté sur le fait qu’ils restaient engagés.
Iran : non aux concessions à un régime scélérat
Récemment, les Gardiens de la révolution des mollahs ont saisi un navire battant pavillon de la Corée du Sud dans le détroit d’Hormuz dans le cadre d’une tentative visant à forcer le gouvernement sud-coréen à libérer sept milliards de dollars d’actifs iraniens qui restent gelés conformément aux sanctions américaines. Par la suite, des responsables iraniens ont fait l’apologie de la stratégie des pasdaran et de l’ensemble du régime.
Les médias du régime iranien appellent ouvertement à la prise d’otage des diplomates de l’UE
Un tribunal d’Anvers, en Belgique, annoncera enfin son verdict concernant le diplomate terroriste iranien incarcéré Assadollah Assadi et ses complices, qui prévoyaient de mettre une bombe contre le rassemblement de l’opposition en 2018 en France. Alors que la possibilité de la condamnation d’Assadi se renforce, les médias dirigés par l’État iranien font écho au désespoir et à la rage des mollahs face à ce procès historique et appellent à la prise d’otages.
Iran : Slogans et affiches sur les murs par les sympathisants de l’OMPI et des unités de résistance dans diverses villes
Au cours de la dernière semaine de janvier 2021, des partisans des Moudjahidine du peuple d’Iran (OMPI/MEK) et des unités de résistance dans diverses villes d’Iran ont écrit des slogans et placardé des affiches des dirigeants de la Résistance, de Maryam Radjavi, présidente élue du Conseil national de la Résistance iranienne (CNRI), et de Massoud Radjavi, le dirigeant de la Résistance iranienne. Ces activités ont eu lieu à Téhéran, Machad, Racht, Nichapour, Karadj, Ispahan, Ilam, Kermanchah et Ahwaz et ont été accueillies avec enthousiasme par les habitants de ces régions.
Dégradation de la santé de la prisonnière politique Fatemeh Mosanna en Iran
À l’occasion de la Journée internationale de l’Holocauste, n’oublions pas la question iranienne
Le 27 janvier a marqué la Journée internationale de commémoration à la mémoire des victimes de l’Holocauste, l’un des plus grands crimes contre l’humanité de l’histoire contemporaine. Ce crime a été le résultat direct de la politique de silence et de complaisance de la communauté internationale. L’histoire a prouvé que l’accommodation des régimes génocidaires comme les nazis ou celui de l’Iran ne fait que les encourager dans leurs crimes contre l’humanité.
samedi 30 janvier 2021
Iran: Coronavirus Death Toll in 478 Cities Is More Than 208,700
Head of the regime’s parliamentary Health Commission: I will not inject the Russian vaccine. Vaccine is not a political issue and should not be decided on based on political affiliation. (Khabar Online, January 30, 2021)- Masih Daneshvari Hospital: If they (Government) were going to get the Russian vaccine, why did they delay for six months until thousands of people died?! (Jahan-e Sanat daily, January 30, 2021)
Huitième exécution en une semaine en Iran
Le prisonnier politique Javid Dehghan executé malgré les appels en Iran et à l’étranger
Appel à une action urgente pour sauver les condamnés à mort et renvoyer le bilan des crimes du régime devant le CSNU
Malgré de nombreuses protestations nationales et internationales, ce matin, les bourreaux des mollahs, dans un acte criminel à la demande des gardiens de la révolution, ont pendu le prisonnier politique baloutche Javid Dehghan Khald à la prison de Zahedan. Agé de 31 ans, Javid Dehghan avait été arrêté en juin 2015 et condamné à mort par le tribunal de Zahedan après avoir été sévèrement torturé pour lui arracher des aveux forcés.
L’Iran a exécuté deux hommes en une journée
CSDHI- Les autorités iraniennes ont pendu deux détenus à l’aube, le jeudi 28 janvier dernier. Les prisonniers exécutés sont Anvar Narouei, un Baloutche iranien, et le prisonnier politique Ali Motiri. Les agents iraniens les ont exécutés respectivement dans la prison de Dastgerd à Ispahan, au centre de l’Iran, et dans la prison de Sheiban à Ahwaz, dans la province du Khouzistan, au sud-ouest du pays.
L’Iran exécute un Baloutche qui a été torturé pour avouer
CSDHI – Les autorités iraniennes ont exécuté samedi 30 janvier 2021 Javid Dehghan, membre de la minorité ethnique baloutche d’Iran. Pourtant, les Nations unies avaient lancé un appel pour arrêter son exécution.
Un prisonnier baloutche pendu pour le meurtre de pasdarans
Le site officiel de la justice iranienne a rapporté que les autorités du régime ont pendu Javid Dehghan, 31 ans, à la prison centrale de Zahedan. Elles l’ont accusé du meurtre de deux membres des pasdarans, il y a cinq ans, dans le sud-est de la province du Sistan-Baloutchistan. Il a décrit le prisonnier politique baloutche comme le dirigeant d’un groupe militant sunnite connu sous le nom de Jaish al-Adl (Armée de la justice).
Des militantes des droits des femmes détenues sans statut clair en Iran
Bien que 50 jours se soient écoulés depuis l’arrestation et la détention de Nazanin Mohammad-Nejad, elle est toujours détenue à l’isolement dans le quartier 2A de la prison d’Evine, avec un statut incertain. Les agents des services de renseignement l’ont arrêtée à son domicile à Téhéran le 8 décembre 2020. Mme Mohammad-Nejad, 32 ans, est étudiante en langue russe à l’université Allameh Tabatabaï de Téhéran. Aucune information n’est disponible sur les charges retenues contre elle.
vendredi 29 janvier 2021
Iran : Plus de 208.300 décès dus au coronavirus dans 478 villes
· Minou Mohraz, du centre national de lutte contre le coronavirus (CNLC) : Si nous avançons avec la même tendance, nous verrons probablement la quatrième vague en février-mars. La tendance de l’épidémie est très inquiétante en Iran. Le virus britannique muté a également été observé en Iran, et s’il se propage, les inquiétudes augmenteront. (Agence Irna, le 29 janvier 2021)
L’Iran ne prévoit pas d’importer le vaccin contre la COVID-19
CSDHI – Plusieurs responsables iraniens admettent maintenant que le régime ne prévoit pas d’introduire un vaccin contre la covid-19 approuvé par l’Organisation mondiale de la santé.
Le Guide suprême interdit l’importation de vaccins « occidentaux »
Cet aveu suit de près l’interdiction par le Guide suprême Ali Khamenei d’importer les vaccins Pfizer et Moderna contre les coronavirus au début de ce mois. « L’entrée des vaccins Covid-19 américains et britanniques dans le pays est interdite. Je l’ai dit à nos responsables et je le dis maintenant publiquement », a déclaré Khamenei le 8 janvier.
90 % des Iraniens vivent dans une « pauvreté totale »
CSDHI – Le journal iranien Arman Daily a rapporté jeudi que plus de 90 % des travailleurs iraniens se trouvent maintenant dans une « pauvreté totale. » Les « prix montent en flèche », ce qui les empêchent d’acheter même les produits alimentaires les plus basiques.
Le seuil de pauvreté est trois fois supérieur au salaire moyen
Cela résume le type de vie que le gouvernement iranien inflige à la majorité des 80 millions d’Iraniens. Certaines autorités déclarent même que le seuil de pauvreté est plus de trois fois supérieur au salaire moyen des travailleurs. De nombreux Iraniens se sont privés de viande depuis des mois. Ils ont réduit de façon spectaculaire leur consommation de riz et de produits laitiers en raison de la hausse des prix de produits supposés bon marché, comme le pain.
Iran executes political activist Javid Dehghan Khald despite human rights groups warnings
ARAB NEWS- Despite human rights groups warnings, 31-year-old Javid Dehghan Khald was executed in Zahedan prison in Iran
Le prisonnier Ali Motayyeri exécuté à Ahwaz en pleine grève de la faim
CSDHI – Les autorités iraniennes viennent d’exécuter Ali Motayyeri. Lui et quelques autres prisonniers avaient entamé une grève de la faim.
Il était en grève de la faim pour dénoncer sa condamnation à mort
Ils s’étaient cousu les lèvres pour protester contre sa condamnation à mort injuste et le traitement réservé aux prisonniers par les gardiens de prison depuis le 23 janvier. Les autorités ont condamné à mort le prisonnier Ali Motayyeri, pour « meurtre prémédité avec un motif religieux. » Elles l’ont exécuté à la prison de Sheiban, à Ahwaz.
Le prisonnier politique Mohammad Ashtiani a failli s’étouffer dans la prison centrale de Karaj
CSDHI – Le prisonnier politique Mohammad Ashtiani a failli s’étouffer en l’absence de traitement médical.
Le prisonnier politique manque de mourir d’étouffement
A cause du faible taux d’oxygène dans son sang, le prisonnier politique Mohammad Ashtiani a commencé à s’étouffer en raison de l’absence de traitement médical. Malgré un faible niveau d’oxygène dans son sang, les autorités pénitentiaires ont refusé de lui fournir des soins médicaux et de l’emmener à l’hôpital.
Le prisonnier politique Mehdi Farahi Shandiz soumis à des pressions incessantes à Karaj
CSDHI – Les autorités iraniennes ont placé le prisonnier politique Mehdi Farahi Shandiz en isolement à la prison centrale de Karaj depuis plus de deux mois. Il y est soumis à des pressions et des restrictions.
Placé en isolement, privé de visites et d’appels téléphoniques
Les agents déligentés par le régime ont transféré le prisonnier politique Mehdi Farahi Shandiz du quartier 6 à la section d’isolement de la prison centrale de Karaj fin novembre. La justice l’a condamné à l’incarcération pour avoir scandé des chants contre le Guide suprême du régime clérical Ali Khamenei et la dictature religieuse. Il n’a pas le droit de passer des appels téléphoniques ni de recevoir des visites. Après plus de deux mois, il a pu appeler sa famille. Les autorités ne l’autorisent à appeler sa famille qu’une seule fois par semaine et uniquement en présence d’un gardien de prison.
Violence domestique contre une femme et inaction des autorités en Iran
CNRI Femmes – L’inaction du pouvoir judiciaire et des forces de l’ordre face à la violence domestique contre une femme a provoqué une vague de colère et de dégoût en Iran.
Pendant 27 ans, Ashraf Sadat Hosseini, originaire de Téhéran, a été systématiquement victime de violences domestiques. Dans le cas le plus récent, le mari d’Ashraf l’a attaquée à coups de machette. Elle a été grièvement blessée et était sur le point de mourir lorsque son fils est rentré à la maison et, avec l’aide des habitants du quartier, il l’a emmenée à l’hôpital.
jeudi 28 janvier 2021
Iran: More Than 207,800 Deaths From Coronavirus in 478 Cities
- Saeed Namaki, regime’s Health Minister: The flames of the new wave of the Coronavirus outbreak may have been lit in Tehran. If the fire (of the virus) breaks out in Tehran, it will be very difficult to put it out. In Eslamshahr, Qods, Mallard and Shahriar, with a population of several million, there are no empty hospital beds. (Mehr news agency, January 28, 2021)
Iran : Des bannières de Khamenei et Soleimani en feu
Dans la matinée du 24 janvier 2021, les forces répressives ont attaqué les habitants du secteur de Kolahdouz dans la ville d’Iranchahr (province du Sistan-Baloutchistan) sous prétexte de contrebande de carburant. Les agents s’en sont pris aux habitants et aux petits commerçants, tirant en l’air pour disperser les gens qui se défendaient au moyen de pierres et de bâtons.
Iran : l’Occident a-t-il été naïf face aux activités d’influence iranienne?
Iran : l’Occident a-t-il été naïf face aux activités d’influence iranienne?
Par Mohammad Sadat Khansari
Il a été récemment révélé que le gouvernement américain poursuivait des accusations contre un politologue et autoproclamé expert en relations étrangères nommé Kaveh Lotfolah Afrasiabi, en vertu de la loi sur l’enregistrement des avoirs étrangers. Les documents d’accusation indiquent qu’il a reçu plus de 265 000 dollars de paiements par l’intermédiaire de la Mission permanente de l’Iran auprès de l’Organisation des Nations Unies, pour un travail de promotion des arguments du régime iranien auprès des décideurs et des médias américains.La complaisance envers le régime iranien met en danger la sécurité mondiale
Avec la nouvelle administration qui prend le pouvoir aux États-Unis, de nombreux apologistes du régime iranien, parallèlement à la campagne de chantage du régime, espèrent revenir à ce qu’ils appellent «l’âge d’or» de la politique de complaisance et de concession des Occidentaux envers le régime iranien. Face à l’augmentation des activités nuisibles de Téhéran, la communauté internationale doit opter pour une politique de fermeté contre le régime.
Les violations des droits humains en Iran en 2020
CSDHI – Il y a quelques jours, Human Rights Monitor a publié son rapport annuel sur les violations des droits humains en Iran en 2020. Il a rassemblé ces atroces violations en un seul document poignant, que nous avons déjà détaillé
Parmi les thèmes clés, on peut citer :
Les exécutions, en particulier de prisonniers politiques
Les châtiments corporels, y compris les flagellations et les amputations
Les mauvais traitements infligés aux prisonniers, y compris les conditions sanitaires inhumaines et la torture
Les mesures de répression contre ceux qui soutiennent et défendent les droits humains, notamment les avocats, les militants, les enseignants, les journalistes, les étudiants, et bien d’autres encore, ce qui a entraîné des arrestations arbitraires et des exécutions extrajudiciaires
La prisonnière d’opinion Saba Kord Afshari est violemment déplacée dans la prison de Qarchak
CSDHI – Le mardi 26 janvier, les agents du régime ont violemment déplacé la prisonnière d’opinion Saba Kord Afshari, du quartier 8 de la prison de Qarchak. Ils l’ont emmenée au quartier 6. C’est là que sont détenues les prisonnières ayant commis des infractions de droit commun.
Des gardiens de prison attaquent les prisonnières du quartier 8
Selon une source bien informée : Pour terroriser les détenues du quartier 8, des gardiens de prison, hommes et femmes, sont entrés dans le quartier 8 en frappant avec leurs matraques et leurs pistolets paralysants sur les portes et les murs. Ils ont intimidé les prisonnières. Et ils ont déclaré que Saba Kord Afshari devait quitter ce pavillon. Mme Kord Afshari prenait de l’air frais à ce moment-là. Ils l’ont donc attrapée par les cheveux et l’ont traînée sur le sol. Ils lui ont attaché les bras dans le dos et l’ont battue pendant qu’ils la sortaient de la section. Aujourd’hui, elle se trouve dans le pavillon 6 avec des prisonnières accusées d’infractions de droit commun et de crimes violents.
L’enfer dans le sud de Téhéran : Les prisonniers mineurs prennent la parole
CSDHI – Le niveau de violence, de conflits, d’automutilation et de suicide parmi les prisonniers mineurs de Shapark Valley est si élevé qu’il est impossible d’en assumer la responsabilité.
Chaque unité ou brigade de la prison du Grand Téhéran dispose d’un quartier réservé aux jeunes délinquants. Il abrite en moyenne 500 personnes chacune, soit plus du double de sa capacité officielle
mercredi 27 janvier 2021
Iran: The Staggering COVID-19 Death Toll in 478 Cities Exceeds 207,300
Despite warnings by regime officials about the fourth COVID-19 outbreak, the regime is delaying the purchase of vaccines. Domestic vaccines production is also controlled by Khamenei’s office and the Revolutionary Guards (IRGC). Today, Mostafa Ghanei, the secretary of the National Coronavirus Combat Taskforce (NCCT) Scientific Committee revealed that the Defense Ministry, which is in control of the IRGC, has monopolized the production of the “Milad Noor” vaccine. The “Barakat vaccine” is also produced by the Executive Headquarters of Imam’s Directive under the supervision of Khamenei.
Des milliers de retraités manifestent dans 17 provinces et 22 villes contre leur pension de misère
Maryam Radjavi : La seule façon de mettre fin à la pauvreté et à l'inflation est de se soulever contre le fascisme religieux pour instaurer la liberté et la justice en Iran.
Dans la manitée du 26 janvier, retraités et pensionnaires de la sécurité sociale se sont rassemblés dans 17 provinces et 22 villes pour protester contre les tromperies et les promesses vides du régime. Ils ont également protesté contre leurs pensions de misère, les prix chers et les conditions de vie insupportables. Les manifestants ont scandé « C’est seulement dans la rue que nous obtiendrons nos droits », « Pas de répit tant que nous n'aurons pas nos droits », « A bas ce gouvernement trompeur », « Crions, crions devant autant d’injustice », « Notre principale demande, une pension réglée sur l’inflation », « Tous ensemble pour la fin des discriminations », « Notre table est vide, ça suffit. »
Des milliers de retraités manifestent dans 17 provinces et 22 villes contre leur pension de misère
Maryam Radjavi a salué les manifestants qui ont poursuivi leurs manifestations aux cris de « C’est seulement dans la rue que nous obtiendrons nos droits ». La seule façon de mettre fin à la pauvreté et à l’inflation, a-t-elle déclaré, est de se soulever contre le fascisme religieux pour instaurer la liberté et la justice en Iran.
Des experts de l’ONU demandent au régime iranien des comptes sur le massacre de 1988
CNRI Femmes – Trente-deux ans après, les experts des droits humains des Nations Unies ont enfin demandé au régime iranien de rendre des comptes sur le massacre de 1988. Ils ont décrit le massacre des prisonniers politiques en Iran comme un “crime contre l’humanité”.
C’est depuis la seconde guerre mondiale, le plus grand crime contre l’humanité sur des prisonniers politiques qui a eu lieu en Iran durant l’été 1988.
Iran : Cinq prisonniers politiques arabes font une grève de la faim dans la prison d’Ahwaz
CSDHI – Cinq prisonniers politiques arabes ont entamé une grève de la faim dans la prison de Shaiban à Ahwaz, capitale de la province du Khouzistan, au sud-ouest de l’Iran.
Les prisonniers se cousent les lèvres
Jasem Heydari, Ali Khasraji, Hossein Seilavi, Ali Motiri et Ali Mojaddam se sont cousu les lèvres. Puis, ils ont entamé une grève de la faim, samedi 23 janvier 2021. Les prisonniers politiques arabes refusent de la nourriture pour protester contre les mauvais traitements que leur infligent les gardiens de prison et les autorités. Par exemple, ils les privent de visites. Ils protestent également contre l’application de la peine de mort.