• « Nous saluons l’attaque de la police française contre le siège de l’OMPI. Cette opération a été suivie en direct par l’Iran. » (le régime des mollahs)
• Les médias des mollahs publient de fausses photos d’armes provenant du bâtiment de partisans de la Résistance iranienne
• Le gouvernement français devrait s’attaquer à la dictature terroriste avec force et détermination au lieu d’opter pour la complaisance, de marchander et de rançonner la Résistance iranienne. Il s’agit du même bâtiment qui a été attaqué à deux reprises par le régime des mollahs à la même période l’année dernière.
• Les trois réfugiés appelés à quitter la France n’ont absolument rien fait d’illégal et méritent des excuses.
Dans le texte ci-dessous, le chef ajoint des affaires internationales du système judiciaire des mollahs, s’exprime avec une extrême insolence et en même temps trahit la nécessité du fascisme religieux en Iran d’attaquer la juste résistance du peuple iranien, en particulier l’Organisation des Moudjahidine du peuple d’Iran (OMPI). Il fait clairement référence à un marchandage honteux auquel le gouvernement français doit répondre.
Gharibabadi (chef adjoint de l’appareil judiciaire des mollah) :
« Nous saluons l’attaque de la police française contre le siège principal du groupe terroriste des Monafeghine (allusion à l’OMPI). L’inspection totale du siège, l’arrestation de trois membres du groupuscule et la fermeture du bureau. L’Iran a pu surveiller cette opération en live. Nous ne laisserons aucun lieu sécurisé pour les terroriste. »
Au même moment, la télévision du régime a annoncé une « descente de la police française » dans les locaux de l’OMPI. Les uns après les autres, les médias du régime comme l’agence Tasnim de la force Terrorist Qods News et l’agence Mizan du judiciaire du 13 juin 2024, ont publié à l’envi de fausses photos des armes présumées que la police française aurait saisies lors d’une perquisition au « siège des Moudjahidine à Paris ».Mardi 11 juin, s’est tenue la 14e séance du procès par contumace de 104 membres de l’OMPI et du Conseil national de la Résistance iranienne, qui ont quitté l’Iran depuis 43 ans. Le régime veut leur extradition pour les torturer et les exécuter. Le scénario dudit tribunal était mêlé de comédies et de mensonges scandaleux sur les « enfants soldats » de l’OMPI pendant la guerre du Koweït en Irak en 1990 et 1991, ce qui a également été rapporté dans Le Monde du 10 juin.
Les histoires et les mensonges à la chaine à la veille du boycott généralisé de la mascarade électorale de la dictature religieuse illégitime par le peuple iranien ne font que montrer le besoin désespéré du régime, impuissant, de faire une fausse démonstration de force pour redonner le moral à ses troupes. Il trahit ainsi la terreur qu’il ressent à l’égard de lOMPI et de la Résistance iranienne. Selon les chiffres officiels, 93 % du peuple iranien a boycotté les « élections » législatives de ce régime en mars dernier. La grande majorité du peuple iranien vote pour le renversement de la tyrannie religieuse.
L’an dernier, le même immeuble des partsians de la résistance iranienne à Saint-Ouen-l’Aumone, au nord de Paris, officiellement enregistré sous le nom d’« Association Sima », avait été attaqué à deux reprises par les mercenaires du régime, le 31 mai et 11 juin 2023.
Le gouvernement français devrait s’attaquer à la dictature terroriste avec force et détermination au lieu d’opter pour la complaisance, de marchander et de rançonner la résistance iranienne.
Les 3 réfugiés bénévoles à qui il a été demandé de quitter la France pour retourner en Allemagne et en Italie n’ont absolument rien fait d’illégal et méritent des excuses.
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 13 juin 2024/CNRI
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire