Parmi les partisans figurent 10 anciens ministres, trois vice-présidents du parlement, les chefs de trois commissions parlementaires, 10 vice-présidents de commissions et neuf chefs et vice-présidents de groupes parlementaires. Leur déclaration souligne l’engagement fort et généralisé des dirigeants politiques norvégiens de lutter contre les violations des droits humains perpétrées par le régime iranien et ses activités déstabilisatrices.
Les parlementaires norvégiens ont exhorté les gouvernements démocratiques, notamment en Europe, à soutenir le plan en dix points de Maryam Radjavi. Ce plan plaide pour une république démocratique en Iran basée sur la séparation de la religion et de l’État et sur l’égalité des sexes. La déclaration condamne également les mesures répressives du régime iranien contre les dissidents iraniens, en particulier ceux d’Achraf-3, qui ont été la cible d’actes terroristes, de campagnes de diabolisation et de simulacres de procès à Téhéran.
Soulignant le bilan notoire de Téhéran en matière de droits humains, la déclaration rappelle le massacre de 1988 au cours duquel 30 000 prisonniers politiques ont été exécutés sur ordre de l’ancien guide suprême Rouhollah Khomeini. Les parlementaires condamnent ces crimes contre l’humanité persistants, en particulier la répression des femmes par le régime, et appellent à ce que les responsables des atrocités de 1988 répondent de leurs actes.
Étant donné que le régime iranien a bloqué toutes les voies d’un changement politique pacifique, les parlementaires norvégiens affirment que la communauté internationale doit reconnaître le droit du peuple iranien à se soulever et le droit des unités de résistance de l’OMPI à affronter le CGRI.
La déclaration condamne également les politiques destructrices du régime iranien au Moyen-Orient, notamment son soutien au terrorisme et ses attaques contre la navigation commerciale. Ils demandent que le CGRI soit désigné comme organisation terroriste, soulignant ainsi la menace que représente le régime pour la paix et la sécurité régionales et mondiales.
Source : NCRI
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