Le climat à Téhéran était particulièrement tendu, avec des rapports faisant état de l’arrestation de plusieurs infirmières éminentes pour leur implication dans les manifestations en cours dans le secteur de la santé. Les autorités ont intensifié la répression dans la capitale, ciblant les professionnels de la santé qui réclament de meilleures conditions de travail et des salaires équitables.
Kangan, dans le sud de l’Iran, a été le théâtre de multiples manifestations. Les infirmières de l’hôpital Khomeini ont poursuivi leur grève, soulignant les griefs persistants concernant les bas salaires et les mauvaises conditions de travail. En outre, les ouvriers de l’usine de ciment Kangan ont célébré leur 28e jour de grève, exigeant des salaires impayés et de meilleures conditions de travail. La persistance de ces manifestations souligne la détermination des ouvriers à faire valoir leurs droits malgré la pression gouvernementale.
Le climat à Téhéran était particulièrement tendu, avec des rapports faisant état de l’arrestation de plusieurs infirmières éminentes pour leur implication dans les manifestations en cours dans le secteur de la santé. Les autorités ont intensifié la répression dans la capitale, ciblant les professionnels de la santé qui réclament de meilleures conditions de travail et des salaires équitables.
Kangan, dans le sud de l’Iran, a été le théâtre de multiples manifestations. Les infirmières de l’hôpital Khomeini ont poursuivi leur grève, soulignant les griefs persistants concernant les bas salaires et les mauvaises conditions de travail. En outre, les ouvriers de l’usine de ciment Kangan ont célébré leur 28e jour de grève, exigeant des salaires impayés et de meilleures conditions de travail. La persistance de ces manifestations souligne la détermination des ouvriers à faire valoir leurs droits malgré la pression gouvernementale.
À Gorgan, dans le nord de l’Iran, des infirmières se sont rassemblées devant le siège de l’université du Golestan, exigeant une rémunération équitable et de meilleures conditions de travail. Leurs protestations ont reçu le soutien de divers syndicats, soulignant le mécontentement généralisé au sein du secteur de la santé dans cette région.
À Kermanshah, dans l’ouest de l’Iran, des infirmières et des travailleurs de la santé ont organisé une manifestation devant le bureau du gouverneur, exigeant de meilleurs salaires et de meilleures conditions de travail. Cette ville a également vu des manifestations de retraités de la Société iranienne des télécommunications (TCI), qui se sont mobilisés contre le mépris du gouvernement pour les lois exigeant des ajustements de pension pour correspondre au coût de la vie.
À Shiraz, dans le sud de l’Iran, des travailleurs de la santé ont manifesté devant le gouvernorat provincial. Les manifestations ont mis en évidence l’échec du gouvernement à répondre aux demandes d’augmentation des salaires et de meilleures conditions de travail pour les professionnels de la santé.
La ville de Bushehr, dans le sud de l’Iran, a été le théâtre de violents troubles sociaux. Les employés de la Société de raffinage de gaz Fajr Jam ont manifesté devant le siège de l’entreprise. Ils ont réitéré leurs revendications en faveur de meilleurs salaires et de meilleures conditions de travail, reflétant ainsi le mécontentement général du secteur énergétique de la région.
À Ispahan, dans le centre de l’Iran, les agriculteurs et les retraités sont descendus dans la rue. Les agriculteurs se sont rassemblés devant le service des eaux pour protester contre les pénuries d’eau qui ont gravement affecté leur capacité à irriguer les cultures. Pendant ce temps, les retraités de la Société iranienne des télécommunications ont organisé une manifestation pour réclamer des retraites et des avantages sociaux équitables.
À Ilam, dans l’ouest de l’Iran, les entrepreneurs municipaux se sont rassemblés devant le tribunal pour exiger la sécurité de l’emploi et de meilleures conditions de travail. De plus, les travailleurs de la municipalité d’Ilam ont manifesté devant le bureau du ministère de la Justice, soulignant les problèmes de salaires et d’assurances impayés, qui n’ont pas été résolus depuis quatre mois.
À Takestan, dans le nord-ouest de l’Iran, les investisseurs escroqués de la société Reyhan Tak ont manifesté. Ces personnes, qui ont perdu leurs économies, ont exigé des comptes de la part des autorités et la restitution de leurs fonds.
À Rasht, dans le nord de l’Iran, les retraités de la Société iranienne des télécommunications ont repris leurs manifestations hebdomadaires, exigeant des retraites plus élevées et d’autres droits fondamentaux. Les manifestants ont scandé des slogans tels que « Directeur menteur, qu’est-il arrivé à vos promesses ! », soulignant leur frustration face aux promesses non tenues.
Tabriz, dans le nord-ouest de l’Iran, Ourmia, dans le nord-ouest de l’Iran, et Sanandaj, dans l’ouest de l’Iran, ont également vu des manifestations de retraités de la TCI réclamer de meilleures retraites et répondre à leurs griefs économiques. À Ourmia, les retraités ont organisé deux manifestations le même jour, soulignant leurs conditions de vie désastreuses et leurs faibles retraites.
A Shush, dans le sud-ouest de l’Iran, les retraités de l’Organisation de la sécurité sociale ont manifesté pour exiger des retraites plus élevées et de meilleures prestations pour faire face à la hausse du coût de la vie.
Enfin, à Zahedan, dans le sud-est de l’Iran, les employés municipaux se sont rassemblés pour protester contre les salaires impayés. La municipalité ne leur a pas versé leurs salaires depuis trois mois, ce qui a entraîné une frustration croissante et des tensions économiques parmi les travailleurs.
Malgré la répression du gouvernement et ses tentatives pour réprimer la contestation, les griefs de la population iranienne concernant les difficultés économiques et les politiques sociales inadéquates continuent d’alimenter un large spectre de troubles.
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