Au cours de son incarcération dans les sections 209 et 1 de la prison centrale de Zahedan, Omid Kashani aurait été soumis à des tortures physiques et psychologiques dans le but de le contraindre à faire de faux aveux. Les forces de sécurité qui l’ont arrêté ont également saisi la voiture de son frère, ajoutant à la détresse de la famille.
Le cas d’OmidKashani met en lumière les problèmes persistants de la détention arbitraire et de l’utilisation de la torture dans les systèmes judiciaire et pénitentiaire iraniens. Sa famille n’a toujours pas reçu d’informations claires de la part des autorités judiciaires et de sécurité de la province de Sistan-Baloutchistan concernant les accusations portées contre lui, ce qui la plonge dans un état d’incertitude prolongé et l’amène à craindre pour son bien-être.
Ces cas ne représentent que quelques-unes des violations des droits de l’homme commises dans le système pénitentiaire iranien, où les prisonniers politiques et les minorités ethniques sont souvent victimes de mauvais traitements et d’une absence de procédure régulière.
Source : Iran HRM/CSDHI
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