Depuis l’entrée en fonction de Pezeshkian, le total s’élève à 214 executions
Ali Khamenei, terrifié à l’idée d’un soulèvement de la population en colère et de la jeunesse insurgée et inquiet des coups dévastateurs qu’il a subis dans la région, n’épargne aucun crime pour soutenir le moral de ses forces et empêcher l’escalade des protestations. Dans un acte barbare, le lundi 30 septembre 2024, deux prisonniers ont été pendus en public à Khomein pour le meurtre d’un officier des forces de sécurité répressives en décembre 2020.
Le jeudi 26 septembre 2024, Amanollah Nahtani a été exécuté à la prison de Zahedan, un autre prisonnier a été pendu à Ispahan, et Milad Ekhlaspour a été exécuté à la prison de Kerman. Le mercredi 25 septembre 2024, en plus des quatre prisonniers dont l’exécution avait été annoncée précédemment, Ayoub Sa’di Khani a été pendu à Chiraz.
Ainsi, le nombre d’exécutions au cours de la semaine dernière s’élève à 21, et depuis l’entrée en fonction de Pezeshkian en juillet, il s’élève à 214 prisonniers, dont huit femmes.
La Résistance iranienne appelle les Nations Unies, les organismes compétents, l’Union européenne et ses États membres à prendre des mesures immédiates pour sauver la vie des condamnés à mort. Le régime interprète l’inaction face à la vague d’exécutions comme un feu vert pour poursuivre ses crimes et son bellicisme. Il faut conditionner les relations politiques et économiques avec le régime à l’arrêt des exécutions et de la torture.
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne/CNRI
Le 30 septembre 2024
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