Après une dizaine de jours, les médecins ont pu retirer la balle du dos d’Arezou Badri, mais ses poumons et sa moelle épinière ont subi de « graves dommages ».
Le chef de la police du canton de Noor, dans la province de Mazandaran, a annoncé le 23 juillet que la voiture de cette femme, une Pride 111, avait été arrêtée à 23 heures le 22 juillet en recourant à la « loi sur l’utilisation des armes ».
Cependant, comme elle en a l’habitude dans de telles situations, la police a rejeté la responsabilité de l’incident sur la victime, déclarant qu’elle s’était « enfuie ».
Après la publication de cette nouvelle, qui a suscité de nombreuses réactions sur les médias sociaux, diverses sources ont identifié la femme comme étant Arezou Badri, une mère de deux enfants; il a été rapporté qu’elle est « paralysée » à la suite des tirs de la police.
Arezou Badri serait actuellement hospitalisée en soins intensifs à l’hôpital Vali-Asr de Téhéran « sous haute sécurité ».
Cette femme de 31 ans « a perdu la capacité de marcher après avoir reçu une balle dans le dos alors qu’elle conduisait ».
Source : Iran Focus
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