Maryam Radjavi, présidente du CNRI, a salué les manifestants et les participants des sit-in dans les différentes villes iraniennes, notamment les milliers de manifestants dimanche à Téhéran, venus protester contre la spoliation de leurs biens par les institutions et fondations affiliées aux gardiens de la révolution, l’appareil judiciaire, la police et les autres organes du régime.
« Ces protestations continues sont une indication claire de la volonté des Iraniens en faveur du renversement de la dictature des mollahs, a-t-elle estimé. Un régime qui ne représente pour la population que des exécutions, la torture, la brutalité et le pillage. La présence de femmes courageuses aux premiers rangs des manifestations a mis en évidence la colère extrême et l’aversion des Iraniennes pour le régime despotique des mollahs. Elle indique aussi leur rôle de premier plan dans le mouvement pour la libération de l’Iran du joug du système réactionnaire et intégriste en place.
Mme Radjavi a appelé la population, notamment les jeunes de Téhéran, Chiraz, Ispahan, Kerman, Ahvaz et Machhad et partout à travers tout le pays de se soulever pour soutenir les compatriotes escroqués par les mollahs corrompus.
Elle a déploré que les richesses du pays soient englouties dans la machine de répression à l’intérieur et de belligérance et d’exportation du terrorisme à l’étranger. « Alors que l’économie est contrôlé par les gardiens de la révolution, toute relation économique avec ce régime est dépourvue de légitimité et va à l’encontre des intérêts nationaux du peuple iraniens. »
Elle a déploré que les richesses du pays soient englouties dans la machine de répression à l’intérieur et de belligérance et d’exportation du terrorisme à l’étranger. « Alors que l’économie est contrôlé par les gardiens de la révolution, toute relation économique avec ce régime est dépourvue de légitimité et va à l’encontre des intérêts nationaux du peuple iraniens. »
Secrétariat du Conseil National de la Résistance iranienne
Le 16 octobre 2017
Le 16 octobre 2017
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