Les chauffeurs se sont rassemblés dans les terminaux et les zones de chargement pour réaffirmer leur unité dans la défense de leurs droits bafoués. Aucun chargement n’est effectué dans les terminaux, et les camions sont absents de nombreux axes de transit. Les routiers protestent contre la réduction de leur quota de gazole, la hausse vertigineuse des coûts d’assurance et la faiblesse des tarifs de transport, entre autres revendications.
Les routiers ont déclaré : « Le pouvoir doit comprendre qu’il ne peut pas jouer avec le sort des chauffeurs et de leurs familles. La grève nationale du 22 mai est un avertissement qui doit être pris au sérieux… Aujourd’hui, les moteurs de camions sont à l’arrêt, mais la voix des conducteurs résonne plus fort que jamais. »

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