Le récit officiel : une histoire contredite par la réalité
Zabihollah Rigi, 29 ans, était à deux semaines de sa peine de 10 ans d’emprisonnement. Cependant, le 16 mai 2025, la nouvelle de sa mort a été rapportée à l’hôpital Imam Ali de Zahedan. Les responsables de la sécurité ont affirmé qu’il était en « congé » et, après avoir éprouvé des douleurs abdominales, a été emmené à l’hôpital, où il est mort quatre jours plus tard.
Mais la famille de Rigi présente une image différente :
« Zabihollah Rigi n’a jamais été en permission. Il était en prison. Les gardes l’ont emmené à l’hôpital avec de graves douleurs et nous ont ensuite informés. Le samedi matin, on lui a fait une piqûre et il est mort le même jour. »
Pas d’antécédents de maladie, pas de dossiers médicaux clairs
D’après sa famille, Zabihollah Rigi ne souffrait pas de problèmes de santé sous-jacents et était relativement en bonne santé pendant son incarcération. Malgré cela, l’hôpital n’a pas annoncé la cause du décès et son dossier médical demeure incertain. Cela a soulevé des préoccupations quant à la possibilité d’un empoisonnement intentionnel ou de mauvais traitements en prison.
La mort au bord de la liberté : des questions sans réponse
La mort suspecte de Zabihollah Rigi, survenue deux semaines avant sa libération, a suscité de sérieux soupçons quant aux motivations de sa mort. Sa famille rejette la notion de « mort naturelle » et exige une enquête transparente, indépendante et impartiale sur l’affaire.
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