Les bourreaux de Khamenei ont exécuté au moins 19 prisonniers du lundi 12 mai au jeudi 15 mai, dont deux mineurs au moment des faits et une femme. Ainsi, depuis le mois de juillet dernier, le nombre total d’exécutions sous la présidence de Pezeshkian s’élève au moins à 1164, un chiffre record de barbarie et de crimes pour les trente dernières années.
Ce jeudi, deux prisonniers nommés Reza Dahmardeh, 24 ans, et Mohammad-Ebrahim Esfandiari ont été pendus respectivement à Zabol et à la prison Vakilabad de Chiraz.
Le mercredi 14 mai, cinq prisonniers ont été exécutés : Reza Miri, Gholam-Abbas Cheraghian et Sajjad Moradi à la prison Qezel-Hessar de Karadj, Moshir Osmandzadeh à Oroumieh, et Hadi Soleimani, 18 ans, pendu à la prison Adelabad de Chiraz, alors qu’il avait moins de 18 ans au moment des faits qui lui étaient reprochés.
Le mardi 13 mai, Mohammad-Reza Sabzi, 20 ans, qui avait 16 ans au moment des faits, a été pendu à Malayer, tout comme Ebrahim Joghtayi à Gonabad et un autre prisonnier à Qezel-Hessar.
Le lundi 12 mai, neuf détenus ont été pendus. En plus des noms mentionnés dans le communiqué précédent, Mahmoud Hojatzadeh, 35 ans, a été pendu à Ispahan, Ne’mat Piri Zali, Mohammad Abdi et Jalil Azizi à Arak, ainsi que Kourosh Jalili à Qezel-Hessar.
Le 7 mai, une femme, Mahtab Amiri, a été pendue à la prison d’Adelabad à Chiraz. Le 6 mai, Payam Mokhtari a été exécuté à la prison centrale de Tabriz, et Ali Abolhosseini, 32 ans, ainsi que Asrar Amani, 30 ans, à la prison d’Adelabad de Chiraz.
Ce régime, parrain mondial des exécutions, des massacres et du terrorisme, doit être exclu de la communauté internationale, et ses dirigeants traduits en justice pour crimes contre l’humanité et génocide. Toute négociation ou complaisance envers les mollahs au pouvoir en Iran revient à alimenter leur machine de crime, de terreur et de bellicisme.
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