En 30 jours (21 avril–21 mai), 158 exécutions ont eu lieu en Iran. Dix de plus entre le 24 et le 25 mai.
Le régime utilise les condamnations à mort – y compris pour espionnage ou crimes de droit commun – comme outil de terreur politique, sans procès équitable ni transparence judiciaire. La Cour suprême avait annulé trois fois la condamnation de Madani, toujours réimposée.
Récemment, Mohsen Langar-Neshine, 34 ans, a aussi été exécuté pour des accusations similaires d’espionnage, liées à la mort d’un commandant des forces Qods.
Le CSDHI appelle la communauté internationale à agir d’urgence. Fermer les yeux, c’est laisser les bourreaux agir en toute impunité.


Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire