Le hashtag « #BoycottIranShamElections » a été posté jusqu’à présent des milliers de fois, se répandant sur Internet. Cette campagne reflète la demande du peuple iranien pour un changement de régime. Elle montre également l’efficacité des unités de Résistance de l’OMPI à faire pression pour un boycott à l’échelle nationale de la parodie d’élections des mollahs.
Au cours des derniers mois, les unités de Résistance de l’OMPI ont étendu leurs activités à travers l’Iran, popularisant l’appel au boycott du simulacre d’élection des mollahs. En raison de la forte pression exercée par les unités de Résistance au cours des derniers mois pour boycotter la parodie d’élection, de plus en plus d’Iraniens ont rejoint cette campagne à l’intérieur et à l’extérieur de l’Iran.
Les unités de Résistance de l’OMPI poursuivent leurs activités alors que dans les semaines à venir, en raison de l’élection présidentielle fictive à venir, le régime a intensifié la répression. Les unités de Résistance de l’OMPI ont écrit des slogans sur les murs de différentes villes. Certains de ces slogans sont : « Mon vote est un changement de régime, oui à une république démocratique », « Sous le régime des mollahs, il n’y a pas d' »élection » », « Un vote libre pour chaque Iranien est un Non au régime des mollahs et un Oui à la liberté et à la démocratie », et « A bas Khamenei ».
Selon l’OMPI, « au cours du mois d’avril, plus de 250 zones dans 27 provinces quadrillées à travers l’Iran ont été témoins d’activités appelant au boycott total du simulacre d’élection présidentielle du régime en juin. »
Le Guide Suprême, Ali Khamenei, a montré son intention de rendre son régime unipolaire en écartant Ebrahim Raïssi des urnes. Ainsi, les médias officiels iraniens ont également reconnu ces derniers jours comment cette politique de contraction sera en faveur de la campagne de boycott des élections du régime.
« L’approche actuelle montre la tendance à l’unification complète du système. Les problèmes existants, notamment la crise économique du pays, sont trop importants pour qu’une seule faction ou un seul groupe politique puisse les gérer. Le problème du pays ne se limite pas à la crise économique. Les crises culturelles, sociales et même politiques ne sont pas moins dangereuses que les crises économiques, si elles ne sont pas plus graves et plus dangereuses« , a averti samedi le quotidien officiel Jomhuri-e Eslami (République islamique) aux responsables du régime.
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