samedi 19 octobre 2024

La machine à exécuter et réprimer de Khamenei fonctionne sans relâche par crainte d’un soulèvement et du renversement

 Pendaison de 15 prisonniers les 16 et 17 octobre et exécution de 12 femmes sous la présidence de Pezeshkian

La machine à exécuter et réprimer de Khamenei fonctionne sans relâche, dans la crainte d’un soulèvement et du renversement du régime. Le 17 octobre, six prisonniers ont été pendus. Ce jour-là, Abbas Karimi, 36 ans, et Mohammad Ali Najafi, 35 ans, ont été exécutés à Ispahan, Nourmorad Garavand et un nommé Sanjari ont été exécutés à Qazvine, et deux prisonniers pendus à Qom.

Le 16 octobre, lors d’une autre tuerie, neuf prisonniers ont été pendus. L’un d’entre eux avait été cité dans un communiqué antérieur. Les huit autres étaient Rassoul Faily et une prisonnière à Hamedan, Abdolbari Tajik, Pasha Pashtou, Javid Ahmad Khani, et un prisonnier nommé Rahman à la prison de Qezelhessar de Karadj, Mohsen Mokhtari à Chiraz, et un autre prisonnier à Machhad. Le 14 octobre, en plus d’une exécution mentionnée dans le communiqué précédent, Alireza Khashaveh-Pour a été pendu à Machhad.

Ainsi, depuis la prise de fonction de Massoud Pezeshkian en juillet 2024, au moins 316 prisonniers, dont 12 femmes, ont été envoyés à la potence.

Engager des négociations et des accords avec ce régime, qui détient le record des exécutions et de la torture dans le monde d’aujourd’hui, constitue une violation flagrante des principes universels des droits humains. Cela ne fait que l’encourager à poursuivre ses violations brutales et systématiques des droits humains, ainsi que son exportation du terrorisme et son bellicisme. Les relations diplomatiques et commerciales avec ce régime doivent être subordonnées à l’arrêt de la torture et des exécutions, et ses dirigeants doivent être traduits en justice pour quatre décennies de crimes contre l’humanité et de génocide.

 Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne/CNRI

Le 18 octobre 2024

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