Le mercredi 16 octobre, les manifestations de divers segments du public ont été accompagnées d’une protestation d’étudiants.
Mercredi, la deuxième manifestation des étudiants en médecine de l’Université islamique d’Azad, branche des sciences et de la recherche, s’est déroulée devant le secrétariat du Conseil suprême de la révolution culturelle.
Les étudiants en première année de médecine, de dentisterie et de pharmacie de la branche des sciences et de la recherche de l’université islamique d’Azad ont protesté contre l’augmentation soudaine des frais de scolarité sans préavis.
La veille, les étudiants avaient également organisé une manifestation similaire devant l’université des sciences et de la recherche.
Les nouveaux étudiants protestent contre l’augmentation soudaine des frais de scolarité qui a été annoncée après les résultats définitifs de l’examen d’entrée en 2024. Les frais de scolarité pour ces programmes sont passés de 300 millions de rials (environ 471 dollars) par semestre à 900 millions de rials (environ 1 413 dollars).
À Bushehr, des acheteurs de voitures se sont rassemblés devant le concessionnaire automobile « Bustan Arya Khodro », qui a été mis sous scellés, dans l’espoir que des mesures soient prises pour récupérer leur argent.
Ils ont déclaré que, comme d’habitude, tous les fonctionnaires de la ville sont complices et que ces affaires n’ont abouti à rien jusqu’à présent. « Un couteau ne coupe pas son propre manche !
En outre, dans plusieurs villes, des personnes handicapées ont manifesté devant l’Organisation de protection sociale et les bureaux du gouvernement provincial, exigeant l’allocation d’un budget pour la pleine mise en œuvre de l’article 27 de la loi sur les droits des personnes handicapées dans le projet de loi de finances pour 2025.
Des manifestations de personnes handicapées ont eu lieu à Téhéran, Kerman, Ardabil et devant le bureau du gouverneur du Khouzistan à Ahwaz.
Extension des manifestations contre le régime
Téhéran – Des supporters du club de football Esteghlal ont également manifesté devant la Persian Gulf Holding à Téhéran.
De même, le personnel des hôpitaux Vali-e-Asr et Mousavi à Zanjan a manifesté devant l’université des sciences médicales de Zanjan.
Brandissant des pancartes et des banderoles, ces personnes ont réclamé l’équité dans le paiement des salaires et ont protesté contre les pratiques en vigueur dans les hôpitaux.
L’un des employés de service a déclaré : « Nos tâches à l’hôpital ne sont pas claires du tout ! ».
Il a critiqué le comportement des responsables de l’hôpital à l’égard des agents de service en déclarant : « La façon dont l’hôpital traite le personnel de service s’apparente à de l’esclavage, et ils n’ont aucun respect pour nous, simplement parce que nous sommes appelés agents de service. »
Les responsables de l’hôpital, en réponse aux manifestations des travailleurs de service, ont déclaré : « Attendez deux mois jusqu’à ce que nous partions, et le prochain gouvernement et le prochain président s’occuperont de vos problèmes. »
Un autre agent de service présent lors des manifestations a déclaré : « L’hôpital est confronté à une pénurie de personnel de service, de sorte que nous ne pouvons même pas prendre de congés dans les circonstances les plus urgentes. »
« Il y a dix jours, nous avons demandé au président de l’université de résoudre nos problèmes, mais rien n’a été fait.
Source : Iran Focus
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