mercredi 30 juin 2021
L’élection a confirmé l’absence de réformisme et la force de la résistance organisée en Iran
Avec la « sélection » la semaine dernière d’Ebrahim Raïssi comme président, le régime iranien a mis fin à une mascarade que d’innombrables Iraniens avaient condamné pendant des années comme un « jeu de dupe » pour le partage du pouvoir entre des factions politiques sans différences idéologiques.
Le régime iranien face à la crise économique après l’élection
L’élection présidentielle des mollahs a pris fin le 19 juin. Le tristement célèbre Ebrahim Raïssi a été nommé nouveau président de la dictature iranienne. Comme d’autres responsables du régime, il a parlé de réforme économique. Mais les faits et les chiffres présentés par les médias d’État contredisent les prétentions de Raïssi.
En raison de la corruption institutionnalisée du régime et du gaspillage des richesses du pays dans le terrorisme et la répression, la crise économique de l’Iran s’est aggravée. De plus, la pandémie de Covid-19 a aggravé la situation en raison du manque de soutien gouvernemental aux industries.
L’impact de la récente vague de protestations en Iran après le simulacre d’élection présidentielle
Quelques jours après le simulacre d’élection présidentielle en Iran, les travailleurs du secteur pétrolier et pétrochimique se sont mis en grève. Leurs rassemblements de protestation se sont rapidement étendus à tout le pays, et d’autres travailleurs ont rejoint la grève nationale. Dimanche, de nombreuses personnes d’autres milieux ont organisé des rassemblements de protestation.
Iran : Plus de 320.200 décès dus au coronavirus
· Tavakoli, n°2 du centre national de lutte contre le coronavirus (CNLC) à Téhéran : Cela fait une semaine que nous sommes entrés dans la cinquième vague. En 24 heures, nous avons eu 1 000 hospitalisations, 6400 cas ambulatoires et 4400 hospitalisations à Téhéran. (Agence Isna, 30 juin 2021)
· L’institut de virologie : Nous rencontrerons bientôt des variantes indiennes du Delta à travers le pays qui seront résistantes au vaccin et avec un pouvoir de transmission plus sévère. (Agence Isna, 30 juin 2021)
Le septième Koulbar tué en un mois par les forces de sécurité dans l’ouest de l’Iran
CSDHI – Les forces de sécurité ont tué un garde-frontière kurde ou « Koulbar. » Elles en ont blessé un autre dans le district de Hawraman, dans la province du Kurdistan, dans l’ouest de l’Iran.
Selon le site Internet Kurdpa, les forces de sécurité ont ouvert le feu sans avertissement sur un groupe de Koulbars. Le porteur tué s’appelait Keyvan Haqmoradi, 32 ans, marié et père de trois enfants. Les forces iraniennes ont gravement blessé un autre Koulbar. Il s’appelait Sirvan Takhani. On l’a transféré à l’hôpital.
Un professeur de mathématiques s’immole en Iran
CSDHI – Un professeur de mathématiques s’est immolé le 27 juin devant le bâtiment du pouvoir judiciaire à Ispahan, dans le centre de l’Iran.
Il s’est immolé par le feu et est mort de ses blessures
Son geste avait pour but de protester contre une décision de justice l’obligeant à évacuer sa maison. Les informations indiquent qu’il est décédé plus tard des suites de ses brûlures. Selon l’agence de presse officielle ISNA, l’homme s’appelaient Amin Kianpour, 43 ans, père de deux filles.
mardi 29 juin 2021
LE PLAN EN 10 POINTS DE MARYAM RADJAVI POUR L’AVENIR DE L’IRAN
Maryam Radjavi : 1-Non à la dictature religieuse. Oui à la souveraineté populaire dans une république pluraliste aux élections libres.2-Liberté d’expression, liberté de partis, liberté de rassemblements, liberté de la presse et du cyberespace.
Dissolution des pasdarans, de la Force terroriste Qods, des agents de répression en civil, de la milice du Bassidj, du ministère du Renseignement, du Conseil de la révolution culturelle et de tous les organes et patrouilles de répression dans les villes, les villages, les établissements scolaires, les universités, les administrations et les usines.
3- Garantie des libertés et des droits individuels et sociaux selon la Déclaration universelle des droits de l’Homme.
Sommet Iran libre 2021 : Ebrahim Raïssi continuera ses crimes
Vidéo : Appel au soutien du peuple iranien et de l’opposition contre le fascisme religieux
Après l’élection présidentielle du 18 juin en Iran, les décideurs politiques du monde entier doivent faire face à la réalité que le nouveau président du régime iranien est un violeur invétéré des Droits de l’Homme. Alors que la plupart des hauts responsables iraniens ont trempé dans les violations passées des Droits Humains par le régime théocratique, Ebrahim Raïssi est considéré comme l’un des principaux auteurs de pires crimes contre l’Humanité.
Iran : Plus de 319.700 décès dus au coronavirus
· Le comité scientifique du centre national de lutte contre le coronavirus (CNLC) : Aucun de nos vaccins n’a été approuvé par l’Organisation mondiale de la santé. Seul Iran Barakat s’est enregistré auprès de l’OMS mais n’a pas reçu d’approbation. (Shafinews, 29 juin 2021)
L’élection en Iran a démystifié la chimère réformiste chez les mollahs
Il n’y a pas de politiciens réformistes en Iran. Cela a toujours été le cas, et cela le restera jusqu’à ce que la dictature théocratique soit renversée, pour être remplacée par une république démocratique qui reflète véritablement la volonté du peuple iranien.
La récente « élection », comme toutes les autres qui adhèrent aux règles mises en place par le régime clérical, n’était pas démocratique dans le sens exacte du terme. Avant que le public ne soit autorisé à avoir son mot à dire dans le processus, tous les candidats à de hautes fonctions doivent être contrôlés par un organe connu sous le nom de Conseil des gardiens, qui exclut toute personne jugée insuffisamment fidèle à la constitution iranienne, au chef suprême ou aux interprétations fondamentalistes de l’Islam des mollahs.
Iran : des experts appellent à une réponse au sombre bilan de Raïssi en matière de droits humains
Jeudi, le Conseil national de la Résistance iranienne a organisé une conférence en ligne pour discuter des implications et des perspectives de la farce de l’élection présidentielle iranienne de la semaine précédente. Ce simulacre d’élection a abouti à la confirmation d’Ebrahim Raïssi, l’actuel chef du pouvoir judiciaire du régime, comme prochain président. Mais l’élection a également fait l’objet d’un boycott organisé par la résistance iranienne.
Javaid Rehman demande une enquête sur le rôle du président iranien Raïssi dans les exécutions de 1988
CSDHI – Javaid Rehman, enquêteur de l’ONU sur les droits humains en Iran, a demandé une enquête indépendante sur le rôle d’Ebrahim Raïssi dans l’exécution de milliers de prisonniers politiques en 1988.
Demande d’enquête sur le rôle joué par Ebrahim Raïssi en 1988
Reuters a écrit le mardi 29 juin 2021 : « L’enquêteur de l’ONU sur les droits humains en Iran a demandé une enquête indépendante sur les allégations d’exécution par le régime de milliers de prisonniers politiques en 1988. Il réclame une investigation aussi et surtout sur le rôle joué par le président élu Ebrahim Raïssi en tant que procureur adjoint de Téhéran.
La dépendance en Iran est de 5,5 %
CSDHI – Selon les statistiques officielles de l’Iran, 13 Iraniens meurent chaque jour à cause de la toxicomanie, une dépendance parmi d’autres.
2.8 millions de toxicomanes en Iran
Le directeur général du traitement et du soutien social du siège de la lutte contre les stupéfiants du pays a déclaré qu’il y a environ 2,8 millions de toxicomanes en Iran. En outre, 1,6 million de personnes consomment des drogues à des fins récréatives. Des statistiques douloureuses qu’on ne peut ignorer et qui sont simplistes du point de vue de diverses dimensions culturelles, sociales, sanitaires, et même économiques et politiques.
Un tribunal iranien condamne 14 personnes à 450 coups de fouet dans le sud-est de l’Iran
CSDHI – Le 24 juin, le tribunal révolutionnaire de Zahedan, dans le sud-est de l’Iran, a condamné 14 personnes à un total de 450 coups de fouet, entre autres punitions.
14 personnes condamnées au fouet
Selon l’agence de presse officielle IRNA, les autorités iraniennes ont accusé, les 14 personnes, de délits économiques. La justice des mollahs les ont condamnées à un total de 450 coups de fouet, un total de 184 ans de prison, des amendes et la confiscation de leurs biens. Le procureur du tribunal de Zahedan a déclaré que les « accusés » sont actuellement en prison.
Abdulhamid Ghanbarzehi et un autre prisonnier sont exécutés à Zahedan
CSDHI – Deux prisonniers du couloir de la mort condamnés à la qisas (la loi du Talion) pour meurtre, sont morts par pendaison à la prison centrale de Zahedan.
Selon les informations obtenues par Iran Human Rights, les agents iraniens ont pendu deux hommes à la prison centrale de Zahedan dans la matinée du 26 juin. La justice les avait condamnés à la qisas (la loi du Talion) dans la même affaire de meurtre. Nous avons établi l’identité de l’un des hommes. Il s’agissait du prisonnier baloutche Abdulhamid Ghanbarzehi. Au moment de la rédaction de ce rapport, IHR n’était pas en mesure de confirmer l’identité du second homme, originaire d’Ispahan.
Deux citoyens bahaïs iraniens contraints de faire de fausses confessions
CSDHI – Quelques jours après les arrestations de Dorsa Dehghani et de Sina Kamali, certaines sources d’information et des utilisateurs de médias sociaux, ont rapporté que les forces de sécurité ont fait pression sur deux Bahaïs afin de les forcer à faire de fausses confessions.
Des agents de sécurité ont arrêté séparément les deux citoyens bahaïs dans la ville de Chiraz (sud-ouest) le 14 juin. Puis, ils les ont transférés dans un lieu inconnu.
Les forces iraniennes tuent un porteur kurde dans la ville occidentale de Sardasht
CSDHI – Samedi, la police des frontières a abattu un porteur transfrontalier kurde. Il s’appelait Vahed Mohammadpour. Les faits dramatiques se sont produits à Sardasht, dans le nord-ouest de l’Iran.
Sixième porteur tué par les forces de sécurité iraniennes
Vahed était marié et avait trois enfants. La police des frontières a ouvert le feu sur un groupe de porteurs sans avertissement. Vahe, qui se trouvait parmi eux, est décédé. Il s’agit du sixième porteur tué par la police des frontières ou les forces de sécurité, au mois de juin.
Un militant iranien emprisonné souffre d’une perte auditive irréversible
CSDHI – Saeed Eghbali est un militant civil emprisonné dans la prison de Rajaï Chahr à Karaj. Il souffre d’une perte auditive à cause d’une infection sévère de l’oreille que les responsables carcéraux ont refusé de soigner en prison.
Saeed Eghbali est transféré à l’hôpital Amir Alam de Téhéran, le samedi 19 juin. Puis, on l’a renvoyé en prison après avoir été examiné par un médecin et prescription de médicaments. Les autorités lui ont délibérément refusé des soins médicaux. Elles l’ont exposé à des dommages irréversibles pour sa santé.
Un Arabe iranien tué sous la torture par la police dans le sud-ouest de l’Iran
CSDHI – Un Arabe iranien est mort sous les tortures de la police à Khorramshahr, dans le sud-ouest de l’Iran. Selon une chaîne Telegram arabe locale, l’homme s’appelait Kazem Hazbavi. Kazem était marié et père de trois garçons et d’une fille. Les informations indiquent que les forces de police ont poursuivi et écrasé Kazem avec une voiture. Puis, elles l’ont emmené au poste de police. Selon les habitants, les policiers l’ont blessé lors de la poursuite en voiture, puis ils l’ont torturé au poste de police où il a perdu la vie.
dimanche 27 juin 2021
Sommet mondial pour un Iran libre 2021
Iran: COVID-19 Fatalities Surpasses 318,500
- Alireza Naji, member of the Scientific Committee of the National Coronavirus Combat Taskforce (NCCT): When we have more than 10,000 COVID-19 patients daily, the mortality rate is over 100, the fourth outbreak is being repeated this time with the Delta Variant. (Javan media outlet, June 27, 2021)
The Plight of Women in Iran – A Report to the UN Beijing+25 Forum
The Plight of Women in Iran – A Report to the UN Beijing+25 Forum is an NCRI Women’s Committee study of the clerical regime’s treatment of Iranian women in the past six years.
The UN last held its forum on the implementation of the Beijing Platform in 2015. Our new study covers the period following this forum and is updated for the June 2021 #GenerationEquality Forum in Paris.
Iran : La grève des travailleurs contractuels des industries pétrolières et pétrochimiques s’étend à de nouvelles villes
Maryam Radjavi a appelé tous les travailleurs et la jeunesse à soutenir les grévistes. Elle a déclaré : La répression et les expulsions vont intensifier la colère des travailleurs et la volonté générale de la population de renverser ce régime pour instaurer la liberté et la justice en Iran.
Iran : La longue histoire de la résistance révèle la vulnérabilité de Téhéran après l’élections
La grève des travailleurs contractuels des industries pétrolières et pétrochimiques entre dans sa deuxième semaine en Iran
· Mme Radjavi a salué les grévistes et appelé l’ensemble des jeunes et des travailleurs à les soutenir. Elle a déclaré que la poursuite des grèves et des manifestations témoignait de la volonté générale de renverser le régime clérical anti-ouvrier. Un régime qui est le principal facteur de pauvreté, d’inflation et de chômage
Agnès Callamard d’Amnesty International appelle à mettre fin à la culture de l’impunité
The Washington Times: Dans un article d’opinion publié le 23 juin 2021, The Washington Times a publié des extraits d’une déclaration de la secrétaire générale d’Amnesty International, Agnès Callamard, dans laquelle elle demande que le président élu du régime iranien, Ebrahim Raisi, soit tenu responsable de crimes contre l’humanité.
Dans un communiqué le 19 juin, la secrétaire générale d’Amnesty International Agnès Callamard a déclaré : « Le fait qu’Ebrahim Raïssi ait accédé à la présidence au lieu de faire l’objet d’une enquête pour les crimes contre l’humanité que sont les meurtres, les disparitions forcées et la torture est un sinistre rappel que l’impunité règne en maître en Iran. En 2018, notre organisation a documenté comment Ebrahim Raïssi avait été membre de la commission de la mort qui a fait disparaître de force et exécuté extrajudiciairement en secret des milliers de dissidents politiques dans les prisons d’Evine et de Gohardacht près de Téhéran en 1988. Les circonstances entourant le sort des victimes et l’endroit où se trouvent leurs corps sont, à ce jour, systématiquement dissimulées par les autorités iraniennes, constituant des crimes contre l’humanité en cours. »
Les proches et mères des martyrs déclarent leur soutien à la grève des travailleurs iraniens
Les travailleurs demandent l’augmentation de leurs salaires et l’amélioration de leurs conditions de travail et de vie intolérables. Plus récemment, Mme Gohar Eshghi a également envoyé un message de soutien à la grève des travailleurs. Mme Eshghi est la mère de Sattar Beheshti, jeune ouvrier et blogueur tué sous la torture à la prison d’Evine en 2012.
samedi 26 juin 2021
Iran: The Staggering Coronavirus Death Toll Exceeds 318,000
Alireza Reisi, the spokesperson for the National Coronavirus Combat Taskforce (NCCT): In the southern provinces, especially in Bushehr, Hormozgan, Sistan and Baluchestan, Kerman and Yazd, we are witnessing a rising trend of the COVID-19 pandemic. (ISNA news agency, June 26, 2021)
- Ahmad Mehri, an epidemiologist: Warning against the occurrence of the fifth COVID-19 outbreak with the Indian and South African variants. (Tasnim news agency, June 26, 2021)
Appel international à empêcher l’exécution d’Hossein Shahbazi, âgé de 17 ans lors de son arrestation
La Résistance iranienne appelle à une action immédiate du Conseil des droits de l’homme de l’ONU, de sa Haut-Commissaire et des rapporteurs des Nations Unies pour empêcher l’exécution criminelle d’Hossein Shahbazi à la prison d’Adelabad à Chiraz. Il est en prison depuis trois ans et avait 17 ans lorsqu’il a été arrêté et inculpé d’homicide. Il doit être exécuté le lundi 28 juin par les bourreaux aux ordres de Raïssi. Après son arrestation, il a été torturé et maltraité et condamné à mort par la troisième chambre du tribunal pénal de la province de Fars.
Il faut confronter sérieusement la stratégie de propagande du régime iranien
Selon AP, « les autorités américaines ont saisi une série de domaines de sites Web liés à l’État iranien qu’elles accusaient de diffuser de la désinformation, a déclaré mardi le ministère américain de la Justice. Une mesure de grande envergure contre les médias iraniens au milieu des tensions accrues entre les deux pays ».
De plus, selon les médias britanniques, la Henry Jackson Society, un groupe de réflexion basé à Londres, a publié le mois dernier un rapport qui détaille l’influence des réseaux de désinformations iraniens qui ciblent le public et les sites Web britanniques. Le rapport rejoint divers autres éléments de preuve de la prolifération continue de la propagande du régime iranien, non seulement au Royaume-Uni mais dans le monde entier. Cela survient seulement cinq mois après que les États-Unis ont inculpé un politologue du Massachusetts pour avoir agi en tant qu’agent rémunéré du régime iranien pendant plus de 13 ans, et quatre mois après qu’un ancien membre des campagnes de désinformation du régime a écrit une lettre au Secrétaire général des Nations Unies pour témoigner sur l’affaire «devant un tribunal ou tout autre autorité impartiale ».
700 travailleurs de la raffinerie de pétrole de Téhéran menacés de licenciement pour avoir fait grève
CSDHI- Les travailleurs de la raffinerie de pétrole de Téhéran affirment qu’à la suite de leur grève pour protester contre le faible niveau de leurs revenus, les responsables de la raffinerie ont distribué un formulaire de règlement à 700 travailleurs pour les licencier.
Les travailleurs pétroliers de différentes villes ont rejoint une grève nationale des industries pétrolières et pétrochimiques. Ils protestent contre les bas salaires et les conditions de travail et de vie difficiles.
Malektaj Farazdaghi (Mère Olfat)
CNRI Femmes – Mme Malektaj Farazdaghi, également connue sous le nom de Mère Olfat, est décédée à Karaj le 12 juin 2021, après avoir subi un arrêt cardiaque.
Les enfants de Mère Olfat sont membres de l’organisation d’opposition iranienne des Moudjahidine du peuple d’Iran (OMPI/MEK). L’un de ses fils, Alireza Olfat, a été tué par la police secrète du Shah, la SAVAK. Un autre, Hamidreza, a été torturé à mort en prison par le régime clérical en 1981. Sa petite-fille, Neda Zanjani, a été tuée en 1988 par les gardiens de la révolution.
vendredi 25 juin 2021
Iran coronavirus update: Over 317,400 deaths, dozens of new red zones across the country
Reporting by PMOI/MEK
Iran, June 25, 2021—Over 317,400 people have died of the novel coronavirus in 547 cities checkered across all of Iran’s 31 provinces, according to reports tallied by the Iranian opposition People's Mojahedin Organization of Iran (PMOI/MEK) as of Friday afternoon local time, June 25. The official death toll declared by the regime stands at 83,588, around a fourth of the actual figure.
The coronavirus death toll in various provinces include: 74,406 in Tehran, 21,400 in Isfahan, 20,066 in Khuzestan, 19,300 in Razavi Khorasan, 12,958 in East Azerbaijan, 12,485 in Mazandaran, 9048 in Alborz, 7526 in Sistan & Baluchistan, 7198 in Kerman, 5412 in Kurdistan, 4560 in Hormozgan, 4498 in North Khorasan, and 3346 in Bushehr. This is in addition to reports obtained from other provinces.
Les droits de l’homme en Iran discutés à l’ouverture du Conseil des droits de l’homme
Le rapport souligne la situation désastreuse des femmes et les violations de leurs droits en Iran
CNRI Femmes – la Haut-Commissaire des droits de l’homme a présenté, lundi 22 juin 2021, le rapport annuel de l’ONU sur la situation des droits humains en Iran.
Michelle Bachelet a présenté le rapport du Secrétaire général sur les droits humains en Iran à l’ouverture de la 47e session du Conseil des droits de l’homme des Nations unies, qui durera jusqu’au 13 juillet. La session se tient virtuellement en raison des restrictions continues de Covid-19.
Michelle Bachelet a précisé que le rapport du Secrétaire général couvrait la période du 1er juin 2020 au 17 mars 2021.