• Appel urgent à la libération des prisonniers politiques et des personnes arrêtées lors du soulèvement.
• Appel à l’envoi d’une délégation internationale inspecter les prisons en Iran
Depuis le début du soulèvement national en Iran, au moins 2000 des personnes arrêtées lors du soulèvement ont été transférées à la 6e brigade de la prison du Grand Téhéran. Beaucoup d’entre eux ont des blessures graves dues aux balles de plomb ou aux coups sévères des agents brutaux de Khamenei et ont besoin d’un traitement urgent et spécialisé. Non seulement ils ne sont pas pris en charge, mais sont soumis à la torture et des traitements inhumains et leur vie est en grave danger.
Le pénitencier du Grand Téhéran ou Fashafouyeh est l’un des plus connus et des plus grands du régime. Il s’étend sur une superficie de 110 hectares et il est située à 32 kilomètres au sud de Téhéran. Cette prison manque d’installations minimales de vie et de santé. Le régime y transfère les prisonniers politiques pour les persécuter. À son arrivée, le détenu est sévèrement battu et humilié. Les prisonniers malades y sont condamnés à une mort progressive.
La Résistance iranienne appelle une fois de plus les Nations unies, le Conseil des droits de l’homme et son Haut-Commissariat, ainsi que les défenseurs des droits humains à prendre des mesures immédiates pour libérer les prisonniers du soulèvement. Elle insiste sur l’envoi d’une délégation internationale inspecter les prisons en Iran et rencontrer les prisonniers, en particulier les prisonniers politiques.
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 12 octobre 2022
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