Selon Rokna, trois hommes ont été exécutés à la prison centrale de Sari le 19 octobre. Les trois hommes, dont les identités n’ont pas été révélées, avaient été condamnés à des peines de qisas (la loi du Talion) pour meurtre.
Le meurtre aurait eu lieu dans le village de Ghaleh Sar à Neka il y a six ans.
Selon les données recueillies par Iran Human Rights, au moins 183 personnes ont été exécutées pour meurtre en 2021. Les personnes accusées du terme générique de « meurtre intentionnel » sont condamnées à des peines de qisas (la loi du Talion) indépendamment de l’intention ou des circonstances, en raison d’un manque de gradation dans la loi. Une fois qu’un accusé a été condamné, la famille de la victime doit choisir entre la mort comme châtiment, la diya (prix du sang) ou le pardon.
Mansour Ghorbani-Bendarati exécuté pour meurtre à Ispahan
Mansour Ghorbani-Bendarati, un homme condamné au qisas (châtiment en nature) pour meurtre, a été exécuté à la prison centrale d’Isfahan.
Selon les informations obtenues par Iran Human Rights, l’homme a été exécuté à la prison centrale d’Isfahan le 19 octobre.
Des sources informées ont déclaré à Iran Human Rights que Mansour avait été arrêté pour ce meurtre présumé il y a sept ans.
Au moment de la rédaction de ce rapport, son exécution n’a pas été signalée par les médias nationaux ou les officiels en Iran.
Selon les données recueillies par Iran Human Rights, au moins 183 personnes ont été exécutées pour meurtre en 2021. Les personnes accusées du terme générique de « meurtre intentionnel » sont condamnées à une peine de qisas (la loi du Talion) indépendamment de l’intention ou des circonstances, en raison d’un manque de gradation dans la loi. Une fois qu’un accusé a été condamné, la famille de la victime doit choisir entre la mort comme châtiment, la diya (prix du sang) ou le pardon.
Source : IHR/ CSDHI
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