Parmi les 2 000 détenus, beaucoup souffrent de graves blessures dues aux coups violents, aux impacts de balles à plomb, reçus des agents de sécurité iraniens. Ces 2 000 détenus ont besoin d’un traitement urgent et spécialisé. Mais les 2 000 détenus des récentes manifestations en Iran n’ont reçu aucun traitement médical et subissent de nouvelles tortures qui mettent leur vie en danger.
Le pénitencier du Grand Téhéran est dépourvu d’installations sanitaires et de conditions de vie minimales. Les détenus et les prisonniers politiques sont transférés dans cette prison pour y être persécutés par les autorités. À leur arrivée, les prisonniers sont impitoyablement battus et humiliés. Les prisonniers malades de Fashafouyeh sont condamnés à une mort progressive.
A la suite des rapports tragiques de tortures de prisonniers dans la prison de Kahrizak en 2009, Iran HRM met en garde contre la répétition des crimes commis par les autorités iraniennes.
Source : Iran HRM/ CSDHI
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